Pierre Court, parti comme médecin volontaire en Algérie au lendemain des accords d’Evian fait le point sur la situation sanitaire. Le manque de médecins, de cliniques ou hôpitaux est criant mais manque aussi le personnel para médical pour aider à soigner des pathologies lourdes de l’après-guerre. Des volontaires médecins et infirmiers sont attendus pour mettre sur pied un enseignement court ou long pour tous les volontaires.
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