Soirée des Amis de l’ITS

une soirée conviviale le mardi 27 novembre de 18h à 21h au 40 rue de Malte

Grâce à l’appui apporté à l’Institut Tribune Socialiste par de nombreux amis et camarades, soutien financier et/ou militant, mais aussi pour nombre d’entre eux en y déposant leurs archives,  l’institut a pu constituer, et faire vivre depuis cinq ans, le premier centre d’archives et de documentation entièrement consacré à l’histoire et aux idées du PSU, ouvert aux étudiants et aux chercheurs, mais aussi aux militants, qui peuvent eux-mêmes l’approvisionner en documents originaux à partir de leur fonds personnel.

Dénommé Centre Jacques Sauvageot début 2018 pour rendre hommage à celui qui fut son animateur depuis l’origine, le centre d’archives, de recherche et de documentation de l’ITS vous propose de voir par vous-mêmes ce qui a été réalisé en nous rejoignant pour une soirée conviviale le mardi 27 novembre de 18h à 21h au 40 rue de Malte,Paris 11ème arrondissement 

L’ITS, c’est un Institut vivant, qui se fonde sur le riche passé du PSU pour le mettre en résonance avec les idées et les débats d’aujourd’hui : son site Internet, ses publications ainsi que ses initiatives et les débats qu’il organise, en font un acteur désormais connu, ce dont témoignent les liens tissés avec nombre d’autres organismes et fondations.

Hommage à Guy Philippon

Mots-clés : Guy Philippon

ATS Vous invitent le lundi 26 novembre 2018 à 18h30 au Maltais Rouge 40, rue de Malte, 75011 Paris à une soirée dédiée à notre camarade et ami GUY PHILIPPON décédé en mars dernier.

 

 

 

Vous invitent le lundi 26 novembre 2018 à 18h30 au Maltais Rouge 40, rue de Malte, 75011 Paris à une soirée dédiée à notre camarade et ami GUY PHILIPPON décédé en mars dernier.

Guy, militant politique et syndical, s’est engagé très jeune, d’abord à la Nouvelle Gauche (1956) à l’Union de la Gauche Socialiste (1957) au PSU de 1960 à 1990, à l’AREV et enfin chez les Verts en 1998 devenus EUROPE ECOLOGIE LES VERTS
Toute une vie consacrée à un engagement politique fort, depuis son soutien à l’indépendance de l’Algérie et de fait à l’anticolonialisme, aux luttes : LIP, Le LARZAC, le soutien aux sans-papiers, la citoyenneté des résidents étrangers, à la vie de quartier, à l’égalité des droits, à l’ Ecologie politique ainsi qu’à l’animation du groupe local Paris 20è et du local « la Teinturerie « .Guy avait écrit un premier livre en 2013 sur son expérience au PSU : « Mon PSU ».

Professeur de mathématiques, il a enseigné + de 30 ans au lycée Chaptal à Paris. Syndicalement il avait d’abord été engagé au SNES, puis au SGEN.
Guy avait écrit de nombreux textes, dont récemment sur Mai 68 que Stéphane Sitbon -Gomez a mis en forme et que les amis des Petits Matins ont édité ; le livre « MAI 68 ET LE PSU – souvenirs d’un lycée rouge » est sorti le 4 Octobre en librairie ; Stéphane Sitbon- Gomez le présentera ce soir-là.

Nous aurons plusieurs autres intervenants au cours de cette soirée :
* Patrick Viveret
* Pierre Manouvrier sur le socle militant creusois de Guy
* Didier-Claude Rod du PSU à EELV
* Des militant.e.s du 20è qui pourront témoigner de son engagement local
* Des échanges suivront évidemment Guy Philippon a été un militant engagé toute sa vie, il était aussi pour celles et ceux qui le connaissaient un camarade et un ami chaleureux.

Nous terminerons cette soirée par un pot convivial auquel vous êtes toutes et tous invité.e.s .

Victor FAY le minoritaire : de la SFIO au PSU (1944/1960)

Mots-clés : Victor Fay

Réunion-débat Mercredi 17 octobre à 19 h au Maltais rouge  40 rue de Malte Paris 11è Présentation par Marion LABEY

Réunion-débat

Mercredi 17 octobre à 19 h

au Maltais rouge  40 rue de Malte Paris 11è

Présentation par Marion LABEY

Après la guerre, Victor Fay reprit son activité à la SFIO, à laquelle il avait adhéré en 1938 après avoir rompu avec le PCF ; délégué au congrès de 1946, il contribua à l’élection d’une direction de gauche, avec Guy Mollet, nommé secrétaire général. Il milita à Paris dans un club où se réunissait la gauche du parti hostile à la politique de Guy Mollet*, et où il rencontra Michel Rocard. La capitulation du gouvernement de Guy Mollet* devant les colons d’Algérie et l’envoi du contingent contre le FLN aboutirent à la formation d’une minorité plus nombreuse. Le ralliement de Guy Mollet à de Gaulle amena cette minorité à quitter la SFIO et à créer, en automne 1958, le Parti socialiste autonome (PSA) qui engagea des pourparlers en vue de la fusion avec l’UGS et des opposants communistes. La fusion eut lieu en 1960 sous le nom du Parti socialiste unifié (PSU). Victor Fay participa activement à la création du PSU et à la rédaction de la Charte du nouveau parti.

 

1Auteure du mémoire biographique : Victor Fay, l’éternel minoritaire : acteur et mémoire critique du mouvement social français ; à lire surle site de l’AAVPF : Victor Fay  La Flamme et la cendrehttps://victorfay.org/L’association des Amis de Victor et Paule Fay a pour but de collecter, publier et diffuser la pensée et les écrits du militant communiste et socialiste Victor Fay (1903-1991), membre du PSU de 1960 à 1980

Le rocardisme devoir d’inventaire avec Jean-François Merle – Vidéos

Mots-clés : Michel Rocard

L'Institut Edouard Depreux Vous invite à une Réunion-débat Mercredi 10 octobre A 19 heures au Maltais rouge,

Mercredi 10 octobre
A 19 heures au Maltais rouge,

 

L’Institut Edouard Depreux
Vous invite à une Réunion-débat

 Le rocardisme devoir d’inventaire 

avec Jean-François Merle

« On a beaucoup écrit sur Michel Rocard et sur l’empreinte profonde qu’il a laissée sur la vie politique française, mais sait-on pour autant ce qu’est le rocardisme ? Qu’y a-t-il de commun entre le leader du PSU de mai 68 et le Premier ministre de mai 1988 ? Où est la vérité du rocardisme entre la promotion de l’autogestion et la défense du sérieux économique ? Entre le porteur d’utopie et celui qui se voulait « briseur de rêves » ? Entre le chef de parti, au PSU puis au PS, et le pourfendeur des faux-semblants de la politique ? Entre l’enfant chéri des médias et des sondages et le critique impitoyable de la démocratie d’opinion ? C’est à ces questions et à quelques autres que ce livre s’attache à répondre en faisant l’inventaire des différentes générations du courant rocardien, des fondamentaux d’une pensée en action, de la réalité de l’action de Michel Rocard au gouvernement et de ce qui reste de son héritage. »

Tous deux membres de son cabinet à l’Hôtel Matignon, les auteurs ont travaillé de longues années auprès de Michel Rocard. Alain BERGOUNIOUX, historien et spécialiste de cette période, préside actuellement l’Office universitaire de recherches socialistes (OURS). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont, avec Gérard Grunberg : Les socialistes français et le pouvoir : l’ambition et le remords, Hachette Littératures, 2007.
Jean-François MERLE, conseiller d’Etat honoraire, auteur de plusieurs études sur l’outre-mer et l’Etat, est aussi maire honoraire de Châtenay-Malabry (92).

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