Mots-clés : Algérie, Culture, Femme, Islam, Socialisme
1982 mars 26 • Collectif
Cote : REVUES-AUTREMENT
Que sait-on vraiment de l’Algérie ? Georges Châlillon Les liens, les ruptures La mémoire La France au miroir de l’Algérie Jean-Robert Henry – Lundi 1er novembre 1954 René Martinez – Femmes algériennes 1960 Marc Caranger – Oran : la cicatrice Pierre Kalfon – Le côté rouge de la frontière G. Marquis, M. Pablo Raptis – Le bleu du ciel Christiane Stoll L’errance entre deux terres Je suis Algérienne, mais… Dalila/Leïla Sebbar – Cités d’exil Christiane Stoll – La France dite et maudite Sélim Turquié La crise, le mouvement Quel socialisme ? Quel Islam ? L’indépendance, 20 ans après… crise et mutation Mustapha Benchenane – Quel développement, pour quelle société ? Bernard Rosier – Un État victime de son succès Jean Leca – Chronique des années de cendre Sélim Turquié – Parti unique, mal unique Ahmed Ben Bella – La politique occulte des clans Mohammed Harbi – F.L.N., Boumediene, Chadli Mohammed Harbi – L’armée, cœur et axe du pouvoir Mustapha Benchenane – L’appel du muezzin Sophie Marin – La braise berbère Hocine Ait Ahmed Algérie au jour le jour Trucs, troc, piston et système D Sélim Turquié – Les seigneurs, les serfs et l’autogestion Marc Mangenot – Des villages pas comme les autres ? François Burgat – Radioscopie de la santé Marie-Odile Delacour – École : la porte étroite Anne Verdet – Vingt ans : le plus bel âge ? Anne Verdet – Dix millions de voix Un corps pour quoi faire ? Djamila Charif, Anne Verdet – De la khaïma à la kitchenette Anne Verdet – Des femmes entre deux mondes Anne Verdet – Sous tutelle ou rebelle Marie-Odile Delacour La culture en friches L’apolitique culturelle Monique Gadant – L’étranglement J.-E. Bencheikh – Radio trottoir, radio-palabres Aziz – Parler et écrire pour dire quoi et à qui ? Jean Déjeux – Les coulisses du cinéma Ali Akika – Pour qui sont frappés les trois coups ? Jean Déjeux I
Collectif
38
1982 mars 26
24,7 x 17 cm, 312 p.
Autrement
Mots-clés : Algérie, autogestion, Classes, Lip, Mai 68, Mendès France, PSU, SFIO, Trotskisme
1980 • Leduc, Bouchardeau, Depreux, Naville, Bresler, Craipeau, Bourdet, Martinet, Heurgon, Dibout, Deangelis, Hauss, Petiot, Roman, Frager, Depaquit, Darmau, Hégin
Cote : CRIT. SOC.
L’histoire et les histoires, Victor Leduc Le P.S.U. ou la recherche d’une alternative, Huguette Bouchardeau I — ITINERAIRES De la S.F.I.O. au P.S.U, Edouard Depreux Etre dans les bonnes luttes, Jean Arthuys Le Parti Nécessaire, Pierre Naville A la Commission des Conflits, Robert Bresler Du trotskysme au P.S.U, Yvan Craipeau Le P.S.U. et la guerre d’Algérie, Claude Bourdet Le contre-plan ou l’heure de la vérité, Gilles Martinet En Mai 68, le pouvoir était-il à prendre ? Marc Heurgon De la critique du stalinisme à l’autogestion, Victor Leduc Quand Pierre Mendès France était au P.S.U II — ETUDES Décoloniser la Province, Patrick Dibout Un parti de dialogue et de combat, R.A. Deangelis Le rôle de l’idéologie au P.S.U, C.S. Hauss III — ECLAIRAGES P.S.U. et classes sociales, Geneviève Petiot La conception du parti du P.S.U, Joël Roman L’état d’un débat, le P.S.U. et le pouvoir, Dominique Frager Parti et conscience de classe, Serge Depaquit Lip ou l’école des contradictions, F. Darmau et P. Hégin La préhistoire du P.S.U. : Chronologie
Leduc, Bouchardeau, Depreux, Naville, Bresler, Craipeau, Bourdet, Martinet, Heurgon, Dibout, Deangelis, Hauss, Petiot, Roman, Frager, Depaquit, Darmau, Hégin
38 – 39
1980
22 x 15,5, 168 p.
Syros
Mots-clés : Algérie
1980 • Claude Bourdet

A l’occasion du 20° anniversaire de la fondation du P.S.U., Claude Bourdet resitue la mobilisation contre la guerre d’Algérie, et les débats au sein du P.S.U. dans ses différents courants.
Mots-clés : Algérie, Économie, Immigration
Septembre - Octobre 1979 • Denis Clerc
Nous devons une grande part de notre richesse au travail des immigrés. C’est grâce à eux que de 1946 à 1975, notre économie a pu connaître ce qu’on a pu appeler le « miracle français » et qui s’est traduit, entre 1950 et 1970, par une croissance du Produit Intérieur Brut (P.I.B.) égale à 5,5 % par an. Entre 1968 et 1975, les travailleurs immigrés ont occupé 42% des emplois industriels qui ont été créés au cours de cette période, en particulier dans le bâtiment et les travaux publics. Pourtant Lionel Stoléru, Ministre du Travail, a pour objectif de voir le nombre d’étrangers diminuer de 3 à 5% par an. Travailleurs très mobiles, corvéables, ne refusant ni les heures supplémentaires ni le travail au noir, les immigrés ont contribué à bâtir notre pays : c’est donc aussi le leur. Ils ont droit à en jouir s’ils le souhaitent. C’est ce droit que, tous ensemble, il nous faudra bien finir par imposer.