Mots-clés : autogestion, classes sociales, Entreprise, Etat, Marx, Révolution, Travail
1991 • André GORZ
Cote : GORZ
« Qu’est-ce maintenant qu’une perspective de gauche ? Que signifie être socialiste ? Comment faut-il concevoir la place future du travail-emploi dans la vie des individus et de la société ? Une société peut-elle se perpétuer sans orientation, ni but, ni espoir ? » 1. Désorientations, Orientations 2. Marché, marchandise, rapports marchands 3.1. Société de services, société duale 3.2. Pistes pour une politique de l’emploi 4. Capitalisme, Socialisme, Écologie 5. Pour redéfinir le socialisme 6. La crise de l’idée de travail et la gauche post-industrielle 7. Anciens et nouveaux acteurs du conflit central 8. À gauche, c’est par où ? 9. La réduction de la durée du travail comme contrat social Postface. Y aura-t-il une gauche européenne ? Par Otto Kallscheuer
André GORZ
1991
21,5 x 13,5 cm, 248 p.
Galilée
Mots-clés : autogestion, Écologie, Nouvelle Gauche
25 Septembre 1989 • Bureau Politique PSU, Guy Labertit
Dans le contexte de préparation des congrès de la Nouvelle Gauche et du PSU et de leur unification, deux avant-projets d’orientation émanant de la Direction Politique du PSU réunie les 9 et 10 septembre 1989 sont proposés ici. La non transformation des sociétés capitalistes à l’Ouest, la faillite des systèmes de l’Est comme la crise écologique qui amène à s’interroger sur l’avenir de l’humanité, imposent que les militants du PSU procèdent à une redéfinition d’un projet de transformation et du mode d’action pour le crédibiliser. La constitution en France, à la fin de l’année, d’un mouvement rouge/vert que le PSU inscrit en continuité d’un combat de 30 ans est une contribution à cette démarche. Si les militants du PSU s’engagent dans cette perspective plutôt que de rejoindre le Parti vert, c’est qu’ils ne considèrent pas que l’écologie soit le fondement unique d’un projet de transformation. Sur ces bases, les militantes et militants du PSU prépareront le congrès constitutif du nouveau mouvement rouge/vert, mouvement ouvert, au-delà des adhérentes et adhérents actuels de la Nouvelle Gauche et du PSU, à toutes celles et tous ceux qui veulent s’engager dans la construction d’une alternative écologiste et autogestionnaire. Un schéma d’orientation pour le prochain Congrès est présenté par Guy Labertit.
Mots-clés : autogestion, Congrès, Elections européennes, Municipales
1987 - 1988 - 1989
Cote : RAV-BE-4 (4)
1987 Bureau politique du 15 février L’Arc-en-ciel en Haute-Normandie Réunion publique pour Pierre Juquin à Rouen. 1988 Réseau pour l’alternative : bonne année La Nouvelle Gauche dit OUI aux revendications ouvrières Pour un revenu garanti. XVII° congrès, Angers, 16-18 décembre 1988 Présentation de la fédé Maine-et-Loire ; Ordre du jour et données pratiques Tableau de votes et textes manuscrits Fédé Sarthe ; Motion Fédé Haut-Rhin ; Déclaration commune Indre-et-Loire et Loir-et-Cher Texte d’orientation Contribution pour le congrès ; choisir unilatéralement le nouveau (Ravenel) Rapport d’activité de la commission statutaire (M. Gruber) Motion votée par la fédé. Paris (préparation d’un congrès d’unification) ; Motion Roubaix, Nord-pas-de-Calais (recentrage CFDT) ; Motion Oriol droit de vote résidents Bilan financier Motion fonctionnement démocratique suite fusion Motion élections européennes ; Appel aux autogestionnaires ; Rapport commission financière Projet de résolution commission Municipales ; Rapport commission Municipales Motion basque (JPh Casabonne, Pierette Saint Miqueue) Explication de vote d’abstention (Hébert, Le Disloquer, Ravenel). 1989 La Nouvelle Gauche s’adresse à vous État de la discussion au sein du BP du PSU.
1987 – 1988 – 1989
Mots-clés : autogestion, Enseignement - Réforme, Formation, Mouvements Etudiants
27 Novembre 1986 • Secteur Jeunes du PSU
Des choix différents face à la Loi Devaquet sont les arguments donnés par les étudiants du secteur Jeunes du PSU lors de la manifestation du 27 Novembre 1986. La loi est finalement votée, mais les étudiants souhaitent continuer à agir, dans le concret de la vie des universités. Après avoir dénoncé la sélection à l’entrée des universités, l’université payante et le développement des inégalités entre universités, les étudiants revendiquent des formations intégrées à l’université, ouvertes aux salariés et aux non-bacheliers afin de supprimer la division entre monde du travail et monde des étudiants. Ils préconisent un contrôle collectif des étudiants sur les programmes pour imposer des choix différents pour un enseignement qualifiant. Ils demandent que s’organise une évaluation non arbitraire et mutuelle des enseignements délivrés avec un contrat entre enseignés et enseignants au début de l’année. Avancer des solutions alternatives est pour eux un moyen d’agir pour préparer une autre société fondée sur le socialisme et l’autogestion.