Mots-clés : autogestion, Bretagne, CFDT, Chili, Etat, PSU
Mars 1973 • R. Chapuis, V. Fay, Fr. Dalbert, Ph. Brachet, J.P. Pabanel, R. David, D. Lenègre, A. Joxe, Fr. Oppenheim, S. Mallet
Cote : CRIT. SOC.
– Présentation, Robert Chapuis L’AUTOGESTION ET L’ETAT SOCIALISTE – Le débat au 8° Congrès du P.S.U. : Etat et conseils – Autogestion et Pouvoir d’Etat, Robert Chapuis – L’intervention de Victor Fay au 8e Congrès – De l’unicité du pouvoir des conseils, Victor Fay – Equilibre ou transition, François Dalbert – Sur l’état de transition, Philippe Brachet – Lecture du dossier C.F.D.T. sur l’autogestion, Jean-Pierre Pabanel – Réflexions sur l’autogestion, Roland David OU EN EST LE CHILI ? – Le Chili, de la prise du pouvoir à la Révolution, Daniel Lenègre – Après l’octobre chilien, Alain Joxe – L’Unité Populaire au Chili, François Oppenheim SPECIAL BRETAGNE (suite) – Sous-développement régional et minorités nationales : les régions-frontières, Serge Mallet
R. Chapuis, V. Fay, Fr. Dalbert, Ph. Brachet, J.P. Pabanel, R. David, D. Lenègre, A. Joxe, Fr. Oppenheim, S. Mallet
12
Mars 1973
24 x 18 cm, 80 p.
Syros
Mots-clés : CFDT, Syndicalisme
1972 • SCHIFFRES Michel
Cote : SCHI
Une organisation syndicale, ce n’est pas qu’un Georges Séguy, qu’un Edmond Maire ou qu’un André Bergeron. C’est, plus justement, une masse d’hommes et de femmes engagés dans une lutte quotidienne et sans gloire. Des méconnus qui ne surgissent aux yeux de l’opinion que le temps d’un conflit ou d’un congrès comme celui que tiendra la C.F.D.T. en 1973. Des salariés qui se battent pour que leurs rêves d’aujourd’hui deviennent les réalités de demain. On les appelle des militants. Pour une fois, ils ont la parole. Certains, dans cette foule, sont différents : ceux de la C.F.D.T., parce qu’ils ont accompli, en moins de dix ans, une formidable évolution, se détachant de la morale sociale de l’Église pour un socialisme qu’ils veulent démocratique. Parce qu’ils prononcent des mots « mal connus » comme responsabilité, respect de la base, autogestion, etc., parce qu’ils apparaissent volontiers comme les « gauchistes responsables » de la Gauche française. Ainsi, au travers des régions, des entreprises, des professions, au travers de problèmes comme la hiérarchie, la politique contractuelle ou les relations avec les autres syndicats, des hommes se révèlent. Des hommes qui constituent, dans le domaine syndical comme le domaine politique, une force essentielle. On les craint ou on espère en eux. Car chaque fois que la société industrielle française s’interroge sur elle-même et sur son devenir, ils sont présents; que ce soit pour analyser le capitalisme actuel ou pour définir un socialisme éventuel, que ce soit pour comprendre le sens du « gauchisme » ou l’enjeu de prochaines élections. Il y a sans doute dans la C.F.D.T. un espoir pour l’avenir du syndicalisme français. Un espoir aussi pour ceux qui veulent se libérer sans tomber sous le joug d’une avant-garde, bureaucratique, fût-elle puissante. Personne ne sait évidemment ce que pourrait être « la révolution ». Comme d’autres, mais sans doute avec plus de rigueur et d’exigence, la C.F.D.T. est à la recherche de ce futur. Dans tous les cas, elle sera au rendez-vous, armée des sans-nom et des sans-grade, armée de « La C.F.D.T. des militants ». L’auteur : Né le 1er mai 1946 à Orléans. Études au Mans, à Caen et à Paris. Diplômé du Centre de Formation des Journalistes (C.F.J.). Passe deux ans à Madagascar à l’École Nationale de Promotion Sociale où il enseigne le journalisme. Dirige, depuis décembre 1970, la rubrique sociale de Combat. Professeur au C.F.J. à Paris.
SCHIFFRES Michel
1972
21,5 x 13,5 cm, 258 p.
Stock
Mots-clés : Allemagne, Autonomes Suède, CFDT, CGT, CGTU, Force Ouvrière, Gauchisme, Grande-Bretagne, Syndicalisme, USA
1972 • RIOUX Lucien
Cote : RIOU
Une “ petite phrase “ de Georges Séguy, une réplique d’Edmond Maire, une remarque d’André Bergeron, et le pays sursaute. Voilà qui donne une idée de la force qu’aujourd’hui représentent en France les organisations syndicales. Elles ont, dans l’opposition, pris le relais des partis politiques affaiblis. Pour comprendre les recherches, les idées, les méthodes et les contradictions des syndicats, il faut bien les connaître, savoir évoluer dans le méandre des sigles, des souvenirs, des textes sacrés et des habitudes qui marquent leur vie quotidienne. Il faut posséder un guide, ce guide que se propose d’être « Clefs pour le Syndicalisme ». Lucien Rioux, 44 ans, ancien responsable syndical, chroniqueur social du « Nouvel Observateur », après avoir été celui de « France-Observateur », suit depuis plus de vingt ans la vie des syndicats. Il a rédigé plusieurs études sur ce sujet et, dans un ouvrage écrit en collaboration avec René Backmann, L’Explosion de Mai (Laffont, 1968), il analyse en détail le rôle des syndicats dans la grande révolte de 1968.
RIOUX Lucien
1972
17,5 X 11,5 cm, 288 p.
SEGHERS
Mots-clés : CFDT, CFTC, Planification démocratique, Politique des salaires
1971 • Préface : Eugène DESCAMPS
Cote : CFDT
1. POUR COMPRENDRE UNE EVOLUTION Textes : les documents fondamentaux pour comprendre l’évolution de la CFDT 2. CE QUE NOUS SOMMES Entretiens avec René Bonety, Maurice Bouladoux, Gilbert Declercq, Eugène Descamps, Albert Détraz, André Jeanson, Fredo Krumnow, Edmond Maire 1. Depuis sa naissance une organisation en marche. 2. Majorité et minorité face à face 3. La déconfessionalisation 4. Une démarche ambiguë? 5. Mai 1968 : ce qu’il en reste 6. La marche en avant au congrès de 1970 7. La C.F.D.T. et la politique
Préface : Eugène DESCAMPS
1971
18 X 11,5 cm, 192 p.
Editions du Seuil