Mots-clés : cogestion
6-12 Mai 1963 • Jean-Louis Péninou
Jean-Louis Péninou, Président du groupe Sociologie, dénonce la main mise du gouvernement sur les mouvements de jeunesse et le contrôle étatique sur la culture. Un des rôles de l’UNEF est de mettre en avant auprès des autres mouvements de jeunesse (culturels, sportifs, syndicaux…) la nécessité d’un regroupement de tous sur une Charte des revendications de la jeunesse.
Mots-clés : allocation d'études, cogestion, Congrès, Logement
6 Mai 1963 • Michel Rostain
Au Congrès de Dijon, au moment où la cogestion des Œuvres est remise en cause, la Commission « Intérieur » F.G.E.L. dénonce la situation difficile réservée aux étudiants. Après avoir exposé la gestion des bourses insuffisantes, mal distribuées et injustes, lui préférant une vraie réflexion sur l’allocation d’études. Devant l’urgence d’une politique efficace en matière de logement étudiant, la Commission dénonce les choix gouvernementaux et insiste sur l’urgence des actions fortes à décider.
Mots-clés : Algérie, cogestion, Indépendance, Politique Économique
Avril - Mai 1963 • Albert Roux, Dominique Laury
Par les décrets du 30 Mars 1963 Ben Bella, premier Président de l’Algérie indépendante consolide les décrets des 22 et 23 Octobre 1962 et donne une base juridique à l’exploitation collective, par des comités de gestion, des grands domaines et des biens vacants. Cette réglementation de l’autogestion, sur le modèle des conseils ouvriers yougoslaves constitue la première mesure de l’Algérie indépendante pour une ouverture au socialisme.
Mots-clés : allocation d'études, cogestion, Congrès, Enseignement - Réforme
Dijon, 7-13 Avril 1963 • 52ème Congrès de l'UNEF
Les textes présentés donnent un état des préoccupations syndicales de l’année 62-63 qui vont des questions sur la formation des enseignants à celle de la cogestion à l’université, au B.U.S, sans oublier les stages, le statut des techniciens supérieurs, l’allocation d’études, les dangers qui pèsent sur l’enseignement supérieur compte tenu que l’Etat n’assume pas ses responsabilités et s’appuie sur le secteur privé….Il est à noter plus particulièrement une réflexion approfondie sur la réforme nécessaire de l’enseignement supérieur et sur la place des moniteurs – assistants ou animateurs des groupes de travail. Le rapport d’orientation générale de la Commission aborde la question de l’étudiant « travailleur intellectuel ».