Mots-clés : Congrès, stratégie syndicale
13 -16 Juin 1963, Issy-les-Moulineaux • Maurice Combes
Le sous-titre de l’article : « une étape dans le renouvellement de la centrale » annonce la déconfessionnalisation de la C.F.T.C. qui devrait intervenir au cours d’un congrès d’ici 18 mois. Le rapport d’Eugène Descamps souligne l’évolution de la C.F.T.C. depuis 1957, la place de la centrale dans l’opposition à la guerre d’Algérie et l’urgence à rétablir le tissu démocratique de la nation. Il affirme la nécessité de l’union dans l’action dans l’indépendance de chacune des organisations. Enfin il souligne l’évolution des mentalités vers le socialisme qui prime sur l’engagement chrétien des militants.
Mots-clés : Congrès, Politique Culturelle, stratégie politique
6-11 Mai 1963 • Hélène Desbrousse
Le sous-titre de l’article : « Ou des loisirs pour quelques uns » situe la réflexion de la Commission Loisirs-Culture qui s’est exprimée au Congrès de l’U.N.E.F. à Dijon. Il y a nécessité pour le syndicat d’un débat d’orientation générale sur le rôle et la politique à suivre pour l’organisation des loisirs des jeunes. Ce projet devra être élaboré avec les organisations de jeunesse et les syndicats.
Mots-clés : allocation d'études, cogestion, Congrès, Logement
6 Mai 1963 • Michel Rostain
Au Congrès de Dijon, au moment où la cogestion des Œuvres est remise en cause, la Commission « Intérieur » F.G.E.L. dénonce la situation difficile réservée aux étudiants. Après avoir exposé la gestion des bourses insuffisantes, mal distribuées et injustes, lui préférant une vraie réflexion sur l’allocation d’études. Devant l’urgence d’une politique efficace en matière de logement étudiant, la Commission dénonce les choix gouvernementaux et insiste sur l’urgence des actions fortes à décider.
Mots-clés : allocation d'études, Congrès, stratégie syndicale
Mai 1963 • Antoine Griset

Les débats du Congrès de Dijon ont fait apparaître des conceptions différentes sur le travail étudiant et des divergences qui ne sont pas sans incidences sur la revendication d’allocation d’études et, de façon plus générale, sur la pratique syndicale : l’étudiant est-il véritablement un « travailleur » intellectuel ?.