SOMMAIRE: I – Le “cadavre puant” se porte bien. II – L’organisation III – Réformisme et théorie IV – Les réalisations V – la France et la Social-Démocratie Supplément à Critique Socialiste n° 38. 3° trimestre 1980
DEMALDENT Jean-Marie
N°2/80
1980
21 X 15 cm, 32 p.
PSU
Série : capitalisme et socialisme
Introduction : une crise de première grandeur – La fin de la croissance- Le développement du chômage L’inflation 1ère partie : questions embarrassantes et faux fuyants – Comme en 1929? -Keynes, le sauveur La fin du keynesianisme -Une hypothèse pour expliquer la crise – 2ème partie : une crise « classique » de suraccumulation – La modernisation de l’appareil productif -Les mécanismes du maintien du profit se grippent- La crise est mondiale -3ème partie : la crise monétaire internationale- Le développement des échanges -Impérialisme américain et système monétaire international -Modification des rapports de force et crise monétaire -Le vieux et le neuf- La crise monétaire renforce la crise économique -Un capitalisme « régressif » 4ème partie : la crise du modèle de production industriel -Et le pétrole ? Que faut-il entendre par modèle de production industriel ? -La crise de la croissance industrielle -Le modèle de production industriel, est par nature impérialiste -L’illusion de la marchandise -Alors que faire ? Bibliographie
Denis CLERC
135
1978 – Novembre
29,7 x 21 cm, 20 p.
Atti del convegno internazionale di studi gramsciani, Firenze, 9-11 dicembre 1977 A cura di Franco Ferri I. Relaziioni a stampa
N. Badaloni, R. Bodei, R. Bodei, C. Buci-Glucksmann, U. Cerroni, F. De Felice, B. De Giovani, G. De Rosa, G. Galasso, G. Giarrizzo, L. Mangoni, G. Vacca, R. Villari
1977
21,5 x 14,5 cm, 500 p.
Editori Riuniti – Istituto Gramsci
Tôt ou tard, la crise du capitalisme français, qui mûrit sous la IVe République, devait emporter un régime impuissant à y faire face. Le coup d’Etat d’Alger décide de l’heure de sa chute, l’investiture du général de Gaulle par l’Assemblée nationale de son issue. Mais les complots et intrigues qui alimentent ces heures de crise ne sont que l’écume de la crise de l’hégémonie républicaine par laquelle, sous la III° République, les classes possédantes ont contenu le développement capitaliste pour asseoir leur domination. Déplaçant la légitimité du pouvoir exécutif du Parlement vers la présidence de la République et renforçant le pouvoir administratif, achevant le désengagement du protectionnisme et la décolonisation, ralliant la mise en place du Marché commun et l’acceptation de la concurrence internationale, de Gaulle ouvre une période de bouleversements politiques, économiques et sociaux… L’histoire qui nous occupe ici est celle de ces bouleversements des conditions d’existence des classes, bourgeoise et prolétaire, dans une société étroitement insérée dans des rapports capitalistes mondiaux, de leurs alliances et de leurs luttes. Elle débouche finalement sur une analyse de la maturation de la crise en France et des solutions que tentent d’imposer les classes sociales soutenant Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac comme de celles dont les classes populaires et l’Union de la gauche sont porteuses. Fruit de pratiques collectives auxquelles l’auteur a participé en tant que militant C.F.D.T. et collaborateur de divers périodiques (Les Temps modernes, Politique-Hebdo, La Gazette ouvrière), cet ouvrage apporte un nouvel éclairage à la détermination des choix stratégiques, des alliances de classes, des conditions et des objectifs de transformation sociale, à un moment où les enjeux politiques se font plus cruciaux. Table 1 L’hégémonie républicaine et sa crise 2 La république présidentielle 3 une nouvelle phase du capital en France 4 Le prolétariat aujourd’hui 5 la prise de pouvoir de la bourgeoisie financière 6 Bourgeoisie technicienne et stratégies d’alliance 7 La crise en France 8 la contre-révolution préventive de la bourgeoisie financière
GRANOU André
1977
22 X 13,5 cm, 312 p.
François Maspero Cahiers libres