L’inflation et la crise du système monétaire international

Mots-clés : Crise, Inflation, Système monétaire

1975-1976 • ETIENNE M..

Cote : AUDIO

Rencontre du cycle d’étude Analyse critique de l’économie 1975-1976 du Centre populaire de formation socialiste. Introduction : L’inflation et la crise du SMI ne sont pas les causes fondamentales de la crise. Elles sont les manifestations d’un détraquement à la fois profond et durable du mode de production capitaliste. I. Le système monétaire international, son évolution, ses crises 1. Qu’est-ce qu’un SMI ? 2. Les accords de Bretton-Woods 3. La crise du SMI II. L’inflation 1. L’inflation comme conséquence de l’accentuation de la lutte des classes 2. Le dérèglement du système par le développement et la transformation des luttes anti-capitalistes Conclusion : une crise encore ouverte 1. Les facilités d’adaptation du système sont immenses 2. Les classes exploitées peuvent vaincre.

ETIENNE M..
1975-1976
45’ x 2

Ecologie et politique

Mots-clés : Crise, Écologie, Impérialisme, Médecine, Multinationales, Pétrole, Socialisme

1975 • BOSQUET Michel

Cote : BOSQ

Tant qu’on raisonnera dans les limites de cette société inégalitaire, la non-croissance signifiera pour la masse des gens la condamnation à une médiocrité sans espoir. Aussi n’est-ce pas d’abord à la croissance qu’il faut s’attaquer mais à un système social qui en entretient le besoin en inventant sans cesse des biens rares par essence et réputés « meilleurs » que ceux de tout le monde. La devise de la société actuelle pourrait être : « Ce qui est bon pour tous ne vaut rien pour toi. » Seule peut rompre avec la croissance une société fondée sur le principe inverse : « Ce qui est bon pour tous est seul digne de toi. Seul mérite d’être produit ce qui ne privilégie ni n’abaisse personne. » Seules les sociétés sans privilèges n’ont pas de pauvres. L’exigence écologique ne se débarrassera de ses équivoques que si elle répond d’abord à cette question préalable : Que voulons-nous ? Un capitalisme qui s’accommode des contraintes écologiques comme il s’est accommodé de la Sécurité sociale — ou une révolution économique, sociale et culturelle qui abolit les contraintes du capitalisme et, par là même, instaure un nouveau rapport des hommes à la collectivité, à leur travail et à la nature ? Chapitres principaux : – Profiter de la crise – Protagonistes de la crise – Ecologie et politique – Médecine, santé et société

BOSQUET Michel
1975
20 X 13,5 cm, 192 p.
Editions Gallée

Crise de l’énergie ou crise politique?

Mots-clés : Crise, Energie

1974 • Bernard di CRESCENZO

Cote : CRES

Depuis deux ou trois ans, le pouvoir et les monopoles cherchent en France à dissimuler l’aggravation de la crise qu’ils engendrent et à réaliser « l’union sacrée » pour conserver leur mainmise sur les affaires du pays. Il y aurait une crise pétrolière, mieux une crise de l’énergie, justifiant les mesures antipopulaires, justifiant le « redéploiement » des monopoles. Les difficultés des travailleurs sont-elles dues à un manque de pétrole, ou liées à une politique globale, qui comporte, parmi les éléments de la crise générale qu’elle engendre, une crise de sa politique de l’énergie ? Bernard di Crescenzo, ingénieur, a été le rédacteur en chef de la revue I.T.C. Collaborateur de la revue La Nouvelle Critique, il est l’auteur de nombreux articles fort remarqués sur les problèmes de l’énergie. Il a déjà publié aux Editions sociales : La R.D.A., pays hautement développé. PREMIERE PARTiE Chap. 1 – La crise globale et le prétexte énergique Chap. 2 – Raisons et moyens d’une nouvelle politique de l’énergie DEUXIEME PARTIE Chap. 1 – Les ressources énergiques naturelles Chap. 2 – La croissance des pays socialistes et l’énergie Chap. 3 – Pétrole, Moyen-Orient et luttes pour l’indépendance Chap. 4 – La crise américaine Chap. 5 – La politique énergique de la V° République Chap. 6 – Les monopoles contre les entreprises nationalisées

Bernard di CRESCENZO
1974
17,5 X 11 cm, 208 p.
Editions Sociales

Le vieux, la crise, le neuf

Mots-clés : autogestion, CERES, Crise

1974 • CHEVENEMENT Jean-Pierre

Cote : CHEV

Selon Gramsci,  » il y a crise quand le vieux ne meurt pas et quand le neuf ne veut pas naître « . Le vieux monde ne veut pas mourir : de la guerre d’Algérie qui cristallisa son engagement politique à la nouvelle crise du capitalisme, en passant par mai 1968, Jean-Pierre Chevènement, aujourd’hui député de Belfort et, aux côtés de François Mitterrand, l’un des responsables du P.S., retrace l’itinéraire des batailles livrées pour que le  » neuf  » puisse naître. Une étape essentielle dans ce combat a été la signature du Programme commun dont le CERES (Centre d’Etudes, de Recherches et d’Education Socialistes) fut dès sa fondation un ardent protagoniste. Il analyse la crise actuelle du monde capitaliste et les perspectives ouvertes à l’unité populaire en Europe. Enfin, aspect le plus attendu, voici une réflexion sur l’autogestion, anticipation du  » neuf « , de ce que peut être un socialisme à la française dans le dernier quart du xxe siècle. Mouvement global de la société qui transforme et recompose toutes les institutions, l’entreprise, l’Etat, l’école, la famille, la commune, l’autogestion est la perspective dans laquelle doit s’inscrire le Programme commun pour changer la vie.

CHEVENEMENT Jean-Pierre
1974
17,5 X 11 cm, 318 p.
FLAMMARION

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