D4-Fraenkel-sexualité2-MP3Cote : AUDIO
Rencontre du cycle d’étude Critique des pratiques sociales 1975-1976 du Centre populaire de formation socialiste.
FRAENKEL Boris
1975-1976
45’ x 2
Rencontre du cycle d’étude Critique des pratiques sociales 1975-1976 du Centre populaire de formation socialiste.
FRAENKEL Boris
1975-1976
45’ x 2
Rencontre du cycle d’étude Histoire du mouvement ouvrier 1975-1976 du Centre populaire de formation socialiste. Introduction : la fin d’une époque I. La 2ème internationale : caractéristiques – une époque de recrutement – l’expansion géographique du socialisme – formes d’organisation – un parti guide : le parti social-démocrate allemand – cohabitation des diverses tendances du socialisme II. La question du pouvoir et le problème des alliances – la stratégie de la lutte des classes légale – le problème de la prise du pouvoir réduit à celui du bulletin de vote – question centrale : les partis sociaux-démocrates doivent-ils ou non faire une alliance tactique avec la partis bourgeois pour la majorité parlementaire – pluralité des tendances de gauche (Rosa Luxemburg, Lénine) III. L’attitude du mouvement ouvrier envers la question nationale – le problème du « cadre de lutte » – sensibilité du mouvement ouvrier aux arguments nationaux et nationalistes – question nationale et question coloniale IV. La lutte contre la guerre – comment se définit l’internationale (lutte contre la guerre, lutte contre l’impérialisme, transformation de la lutte contre la guerre en guerre civile, le congrès de Stuttgart 1907) – « guerre à la guerre » V. La faillite du mouvement ouvrier en 1914 : pourquoi ? – les mutations du mouvement ouvrier : le vertige du succès – prédominance des luttes au jour le jour dans les préoccupations de la social-démocratie: le divorce entre un langage radical et une pratique réformiste – oscillation de la social-démocratie entre intégration et isolement – absence d’une vision théorique/stratégique globale des différents courants socialistes – tentations pacifistes.
HAUPT Georges
1975-1976
45’ x 2
Dien-Bien-Phu symbolise la Première Résistance du peuple vietnamien. Mais pourquoi, depuis près de dix ans, mène-t-il à nouveau la plus folle et la plus efficace des guérillas ? Pourquoi cette Seconde Résistance ? Et comment tout cela finira-t-il ? Ces questions, Wilfred Burchett se les est posées avec objectivité, avant d’entreprendre ce grand reportage dans les maquis sud-vietnamiens, chez ceux qu’on a coutume d’appeler les Viet-Cong et qui sont, en réalité, les soldats du Front National de Libération vietnamien. Pendant plusieurs mois, Burchett a vécu dans la jungle insurgée. Des tribus primitives de l’Annam aux hameaux stratégiques des plaines ; des sectes religieuses en armes aux avant-postes révolutionnaires des faubourgs de Saigon ; du Yeti de la forêt vierge à Nguyen Huu Tho (ce paisible avocat saigonnais qui est aujourd’hui président du Front National de Libération pour avoir voulu, dès 1954, que soient appliqués les accords de Genève), Burchett a tout vu, tout entendu, tout confronté. Dans ces pages d’une brûlante actualité, son talent de grand reporter excelle aussi bien pour décrire la chasse à l’éléphant que le sinistre bagne de Poulo-Condor… A l’heure dangereuse de l’escalade. voici une clef du drame vietnamien…
BURCHETT Wilfred G.
1965
20,5 x 14 cm, 355 p.
Gallimard
Texte de Daniel Guérin. Il s’agit de la première page présentant la deuxième édition en brochure d’un texte qui, lui, est toujours disponible dans La Peste brune (Spartacus,1996). EN HOMMAGE A MARCEAU PIVERT L’essai « Quand le fascisme nous devançait » m’avait été demandé, en 1954, par Jean-Paul Sartre pour le numéro spécial des Temps modernes sur « La Gauche ». Mais, au dernier moment, cet article, dont pourtant le contenu avait, à l’avance, fait l’objet d’un échange de vues avec l’auteur de Nekrassov, n’a pas trouvé place dans la revue… Pourquoi ? Je m’en voudrais d’épiloguer sur des motifs, qui, au surplus, ne m’ont jamais été franchement révélés et je laisse au lecteur le soin d’apprécier. J’ai cependant obtenu de publier le texte déjà composé pour les Temps modernes en une sorte de « tirage à part »… très « à part ». Ce tirage est aujourd’hui épuisé et des amis me demandent de le rééditer. J’ai cru bon d’y joindre un certain nombre d’articles insérés, de 1938 à 1939, dans Juin 36, l’hebdomadaire de la « Gauche révolutionnaire » du Parti Socialiste S.F.I.O., puis du P.S.O.P. (Parti Socialiste Ouvrier et Paysan). Ce parti a été constitué, on le sait, à la suite de l’expulsion du Parti Socialiste de la tendance Marceau Pivert au Congrès de Royan (Pentecôte 1938). Le dernier de ces articles a paru le 25 août 1939, à la veille du déchaînement de la deuxième guerre mondiale. On y verra comment la guerre, de même que le fascisme, nous a devancés, et comment, face à la catastrophe, nous avons essayé de maintenir une position révolutionnaire internationaliste, à égale distance du fascisme et du social-patriotisme. Position difficile, certes, solitaire, et qui nous valut beaucoup d’incompréhensions et de haines. Mais que je ne renie pas et dont je revendique, avec le regretté Marceau Pivert, ma part de responsabilité – la tête haute.
GUÉRIN Daniel
1960
21 X 13,5 cm, 64 p.
Correspondance Socialiste Internationle