Mots-clés : Afghanistan, Afrique, Brésil, Colombie, Cuba, Dijbouti, Guatemala, Italie, Nicaragua, Norvège, Uruguay
1980
Cote : TRIB INTERNAT PSU
EDITORIAL «Pour une zone européenne sans armes nucléaires» – Fondation Russel SITUATION INTERNATIONALE Interview de Manuel Azcarate, membre du Bureau Central du P.C.E. chargé de la politique internationale AFGHANISTAN L’URSS en Afghanistan. Une fuite en avant – Jeanne Brunschwig ITALIE Où en est la «Nouvelle Gauche» ? – Luc Boni Congrès de Democrazia Proletaria: Motion politique (extraits) NORVÈGE Pays du socialisme à la Scandinave ? – René Seibel AFRIQUE Sur la politique africaine de la France – Bernard Ravenel Bangui: casser l’engrenage DJIBOUTI Point de vue: Djibouti ou le non-alignement volontaire – André Laudouze DÉBATS Pour une politique internationale de la gauche dans les années 80 – Edmond Jouve. «Prendre acte», contribution pour le Congrès national du Mouvement de la paix (novembre 80) – Bernard RAVENEL DOSSIER AMÉRIQUE LATINE L’Amérique après le Nicaragua BRESIL: Retour du Brésil, un peuple en lutte – A. et F. Ruellan Les organisations politiques au Brésil NICARAGUA Année de l’alphabétisation, quand un peuple apprend à écrire… son histoire – André Deschamps Rejoindre l’Association de Solidarité France-Nicaragua CHILI Education et répression – Jany Baudet URUGUAY Une dictature en quête de légalité – militants du Comité pour la défense des prisonniers politiques en Uruguay COLOMBIE A propos de la prise d’otages à l’ambassade dominicaine – Comité pour la dé) prisonniers politiques en Colombie GUATEMALA Communiqué du P.S.U. CUBA Discutons de Cuba : — le cas cubain – Politica Nuova Avril 80 — un modèle en crise – id.
4
1980
29,7 x 21 cm, 32 p.
Mots-clés : Brésil, Europe, femmes, Italie, Moyen-Orient, Nucléaire, Orient
1979 • RAVENEL B., BOCCACINI Walter, FAIRLIE Ian, BOURDET Claude, BONIFAY JM, BRETHOMÉ A.
Cote : TRIB INTERNAT PSU
– L’eurodéfaite de la gauche (B. Ravenel) – Le Parti Radical italien (W. Boccacini) – Europe : Les femmes après ? – L’Europe capitaliste aujourd’hui, rapport introductif présenté par le PSU à la Conférence Internationale sur l’Europe à Paris les 14 et 15 octobre 1978. – Europe et nucléaire, interview de Ian Fairlie, représentant de la minorité anti-nucléaire dans les Trade-Unions – Moyen-Orient, autonomie ou autodétermination, rapport de Claude Bourdet – Moyen-Orient, France-Palestine, pourquoi (JM Bonifay)- – Amérique latine : le Brésil etr la solidarité internationale ; intervention du PSU à la conférence de Rome (A. Brethomé)
RAVENEL B., BOCCACINI Walter, FAIRLIE Ian, BOURDET Claude, BONIFAY JM, BRETHOMÉ A.
2
1979
29,7 x 21 cm, 24 p.
Mots-clés : Espagne, Eurocommunisme, France, Italie, Socialisme
1977 • CLAUDIN Fernando
Cote : CLAU
L’eurocommunisme hésite encore à se reconnaître comme tel, il doute de lui et se nie en même temps qu’il s’affirme. Tant en ce qui concerne les problèmes internationaux que ceux de politique intérieure, les trois principaux partis eurocommunistes, italien, français, espagnol, ont jusqu’à présent refusé toute discussion de fond et toute position commune. L’une des raisons de cette attitude — comme l’a montré le sommet de Madrid — est la crainte d’aggraver l’affrontement avec Moscou. Malgré tout, la résistance à l’action conjointe est probablement due à l’incertitude de chaque parti sur sa propre politique. Les trois partis oscillent entre la tentation social-démocrate — réduction de la voie démocratique au socialisme à une simple réformisme social-démocrate — et la volonté de tout faire pour créer les conditions d’une alternative socialiste à la crise du capitalisme. Tous trois annoncent une démocratisation interne, mais ne se décident pas a se défaire du centralisme antidémocratique. Tous trois disent avoir surmonté leur passé stalinien, mais continuent de reculer devant le dévoilement total de la vérité historique. L’eurocommunisme contient la possibilité et l’espoir d’une résolution — dans le capitalisme mûr — de la crise générale du mouvement communiste. Mais ce sera peut-être aussi son chant du cygne. Cette incertitude ne doit pas seulement préoccuper les communistes, mais aussi toutes les forces qui se situent dans la perspective socialiste, car il est aussi problématique de concevoir la transition socialiste en Occident sans les communistes que sans les socialistes. Si la pratique de l’eurocommunisme ne tient pas ses promesses et si le socialisme ne dépasse pas le réformisme social-démocrate, le capitalisme pourra se rétablir à nouveau, et le chemin du socialisme se fermera une fois de plus en Europe pour une étape de durée indéterminée. Chemin étroit, difficile, hérissé d’écueils : ce serait une illusion que de le nier. Mais c’est le seul chemin possible et il doit être tenté. Car l’unique alternative au socialisme reste la barbarie. L’auteur : Fernando Claudin était dirigeant des Jeunesses communistes espagnoles avant la guerre civile, à l’époque où Santiago Carillo était, lui. dirigeant des Jeunesses socialistes, Santiago « Carillo ayant adhéré au parti communiste en 1936. Fendant la guerre civile. Fernando Claudin a été élu au Comité central du paru communiste, puis, en 1947, au Bureau politique et, en 1956, au Secrétariat du Parti. Exclu en 1964. il est. depuis, resté indépendant. Il est l’auteur de La crise du mouvement communiste international (éditions Maspero, 1972) et de Marx et Engels et la révolution de 1848 (à paraître aux éditions Maspero). Il vit actuellement à Madrid. .
CLAUDIN Fernando
1977
22 x 13,5 cm, 151 p.
François Maspero
Mots-clés : Gramsci, Italie, marxisme, Ordre nouveau, PCI, Togliatti
1977 • TOGLIATTI. Introductions : Jacques Texier et Jean Rony
Cote : TOGL
Dans ces textes d’une grande densité théorique, Togliatti entreprend une analyse des Cahiers de la prison qu’il rattache à toute l’expérience politique antérieure, mûrie et réélaborée, développée dans cette oeuvre maîtresse et inachevée qu’il replace dans les conditions historiques où elle est produite. La ligne togliattienne et celle du Parti communiste italien sont elles un développement de l’élaboration gramscienne ? Telle est l’une des questions centrales posées par ce livre. L’ensemble des textes, étalé sur quarante ans, fait apparaître l’initiative continue de Togliatti comme protagoniste principal de l’investissement de la pensée gramscienne dans le développement historique du mouvement ouvrier et de la nation italienne. Si les thèses de Togliatti comportent des constantes, elles sont loin d’être figées, et c’est un dialogue vivant, lié à l’histoire, qu’il instaure avec Gramsci. Dans deux introductions importantes Jacques Texier et Jean Rony précisent, d’une part, les problèmes théoriques que pose la continuité Gramsci-Togliatti et, d’autre part, les conditions historiques qui ont présidé à la naissance de ces textes.
TOGLIATTI. Introductions : Jacques Texier et Jean Rony
1977
21,5 x 13,5 cm, 351 p.
Éditions sociales