Mots-clés : Mai 68, PSU
1968
Cote : RAV-BE-7
PSU 68 : Courriers avec les fédérations : – la Seine maritime – le Loir et Cher – lettre de Sallois à Heurgon, de janvier 69 sur organisation des formations – plus lettres et documents divers de militants – lettre de D. Frachon le 7 novembre au BN sur la trésorerie et les économies à réaliser – plus dossier sur l’affaire Flemour; mort d’une jeune fille, drogue etc… PSU : divers courriers 1968 : – lettre de M. Heurgon à G. Martinet du 28 novembre sur désaccords politiques – revue Pouvoir socialiste n° 4 d’avril 68 liée à la lettre précédente – échanges de courriers à propos des démissions – départs de divers militants liés à Pouvoir socialiste ( C. Audry, Y. Jouffa , N. Poperen etc…) – lettre de M .Rocard à Claude Bourdet le 4 janvier 68 sur congrès passé, désaccords et discipline de parti – lettre d’E. Depreux du 19 mars – lettre de Tanguy Prigent le 30 janvier aux membres du PSU de Lanneur à propos de J. Poperen – – lettre de Taponard à M. Heurgon le 1 septembre sur la situation de la fédé de l’Ain – lettre de M. Rocard à Lesire- Ogrel du 18 octobre sur la situation du Val d’Oise – lettre de J. Aubry de la fédé de Loire Atlantique, du 7 juillet sur développement du PSU localement et les différentes perspectives – lettre de P. Ringuet au BN le 13 octobre avec explications sur sa démission du BN – différents courriers de militants avec une réponse de M. Rocard le 15 mai revendiquant la ligne du PSU – lettre compte-rendu de la fédé de la Gironde du 31 octobre avec textes analyses, actions, propositions – 13 pages – lettre de Théodore Monod, du Museum etc… en date du 25 mai au président de l’UNEF lui assurant son soutien et l’incitant à des actions non-violentes Le PSU vu après 1968 par : – DEA d’Aude Godillot: « _Mai 68 : la radicalisation du PSU » sous la direction de Jean François Sirenelli – 2002 -75 pages – Photocopie du chapitre de Vladimir Claude Fisera : » Le PSU face à son histoire : le tournant de mai 68″ in « 1968, exploration du mai français » tome 2 sous la direction de René Mouriaux et al. ; édition L’Harmattan ,1992 – chapitre de 38 pages – Tribune Socialiste spécial n° 787 de juin 1978: interviews de différents acteurs et relations de luttes
1968
Mots-clés : Mai 68, PCF, Révolution, Socialisme
1968 • ANDRIEU René
Cote : ANDR
Les communistes ont-ils trahi la révolution ou bien se préparent-ils à déclencher la guérilla dans le Massif Central? Sont-ils des réformistes qui s’ignorent ou des révolutionnaires qui cachent leur jeu? Veulent-ils détruire les libertés démocratiques, comme les en accusent leurs adversaires ou au contraire les étendre comme ils l’affirment eux-mêmes ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles René Andrieu répond dans cette synthèse courageuse qui situe l’action du parti communiste dans son contexte historique et dans ses rapports avec «toutes les gauches». Un livre indispensable pour quiconque veut être informé sur ce que sont et ce que veulent les communistes français. .
ANDRIEU René
1968
18,1 x 10,8 cm, 320 p.
UGE 10/18
Mots-clés : Mai 68, Révolution
1968 • GLUCKSMANN André
Cote : GLUC
« Ce qui fait l’importance de toutes les crises, c’est qu’elles manifestent ce qui jusque-là était latent, rejettent ce qui est conventionnel, superficiel, secondaire, secouent la poussière de la politique, mettent à nu les ressorts véritables de la lutte des classes, telle qu’elle se déroule réellement. » (LENINE.) Paris, mai 68, ce n’est pas la révolution mais, au cœur de l’Occident, sa formule réinventée. Barricades, violence politique, grèves sont éléments classiques des situations révolutionnaires analysées par Marx et Lénine. Les forces de contestation nouvelles — face au blocage du double ordre européen de l’Ouest et de l’Est — découpent la constellation qui fait de la France le centre de gravité du continent, une des clés du monde.
GLUCKSMANN André
1968
20 x 12 cm, 131 p.
Christian Bourgeois
Mots-clés : CGT, Mai 68, Marché commun, Nationalisations, PCF, planification, Syndicat
1968 • BARJONET André
Cote : BARJ
Après soixante-treize ans d’une existence mouvementée faite de luttes et d’espoir, remplie d’abnégation et bien souvent d’héroïsme, traversée de faiblesses et d’erreurs, riche aussi de victoires, la C.G.T. reste toujours — et de loin — la principale organisation syndicale française, la seule à se réclamer officiellement de la lutte des classes et à dans ses statuts qu’elle œuvre pour la « disparition du salariat et du patronat ». Retracer, même sommairement, l’histoire de la C.G.T., c’est écrire l’histoire de tout le mouvement ouvrier français depuis trois quarts de siècle : tel n’est pas notre propos. Le but de cet ouvrage est bien plutôt — à la lumière, bien sûr, de certains aspects cruciaux de son histoire — de « saisir » la C.G.T. actuelle, d’en décrire la structure, d’en analyser le fonctionnement, de comparer la vision qu’elle a d’elle-même à son comportement concret et, à cette occasion, d’essayer de dégager quelques perpectives valables pour le syndicalisme actuel. (André Barjonet : avertissement)
BARJONET André
1968
18 x 11,5 cm, 192 p.
Seuil. Politique