Mots-clés : cogestion, marxisme, Socialisme				
		
						
		Mai-Septembre 1973 • Victor Fay				
					
			
				Le socialisme autogestionnaire rencontre dans les milieux des travailleurs syndiqués et politisés un intérêt de plus en plus net. Ceci s’explique parce que les travailleurs ne veulent plus supporter les conditions de vie qu’on leur impose. Il y a souvent confusion entre les notions d’autogestion et de cogestion. Présents dans les Conseils d’administration, les ouvriers doivent utiliser leur présence pour contrôler la gestion de l’entreprise, la critiquer et la faire connaître aux travailleurs pour dénoncer la duperie de la cogestion, en un mot pour transformer la cogestion en contrôle ouvrier. L’autogestion ouvrière, n’est pas le socialisme, c’est une forme d’organisation sociale qui permet de construire un socialisme dans la liberté, en assurant aux travailleurs la possession et la gestion des moyens de production. Ce n’est pas un but mais un moyen.Publication à la suite de l’article des textes édictés lors de la Révolution d’Octobre.
			 
			
			
		
							
		
					
						
				Mots-clés : marxisme				
		
						
		1973 • BARJONET André				
					
			
				Cote : BARJ
Marx Engels Lénine  Trotsky Vocabulaire marxiste
BARJONET André
1973
20 x 14 cm, 168 p.
Éditions universitaires
			 
			
					
							
		
					
						
				Mots-clés : Gramsci, marxisme, Ordre nouveau, PCI				
		
						
		1973 • RAVERA Camillia				
					
			
				Cote : RAVE
Parte prima 1913-1920 I.	A Torino nell’« Ordine Nuovo »	9 Parte seconda 1921-1926 II.	Dal congresso di Livorno all’avvento del fascismo	85 III.	La costruzione del partito	141 IV.	Dal delitto Matteotti all’arresto di Gramsci	187 Parte terza 1926-1930 V.	Il primo anno di clandestinità	259 VI.	A Mosca	363 VII.	Il caso Tasca	395 VIII.	La « svolta » e la ricostituzione del Centra interno       455 Parte quarta 1930-1935 IX.	In carcere	513 Parte quinta 1936-1943 X.	Al confino	577
RAVERA Camillia
1973
21,5 x 14,5 cm, 698 p.
Editori Riuniti
			 
			
					
							
		
					
						
				Mots-clés : Gauchisme, Léninisme, Maoïsme, marxisme, Révisionnisme				
		
						
		1973 • FEJTÖ François				
					
			
				Cote : FEJT
Quelle est la part de Marx, quelle est celle de Lénine dans ce qu’on appelle communément marxisme-léninisme ? Celui-ci est-il un phénomène spécifiquement russe ou a-t-il une validité universelle ? Staline a-t-il trahi Lénine ou, au contraire, a-t-il parachevé son œuvre ? Voici quelques questions auxquelles François Fejtô s’efforce de répondre. Il analyse ensuite la grande crise d’identité du communisme, ouverte par la déstalinisation, jusqu’à ses derniers avatars : le révisionnisme de Dubcek, le maoïsme et la révolution culturelle, le brejnevisme et les diverses formes du gauchisme. En replaçant les expériences communistes du passé et du présent dans la perspective marxienne — que Lénine et Staline ont infléchie vers le « volontarisme » et le culte de la violence — il conclut que le socialisme — c’est-à-dire le maximum de liberté conciliable avec le maximum de responsabilité — ne se pose comme tâche réelle qu’aux sociétés libres, pluralistes, ayant atteint un haut degré de développement industriel, technique et culturel. Le reste relève, dit-il, de ce que Marx lui-même a appelé « socialisme primitif ».
FEJTÖ François
1973
23,3 x 15,3 cm, 398 p.
Casterman