Mots-clés : Argentine, Mouvements Etudiants, Mouvements sociaux				
		
						
		Mai 1969				
					
			
				Après le coup d’État qui a permis l’installation de la dictature du Général putschiste Ongania, le gouvernement a donné une pseudo participation au pouvoir à la classe ouvrière afin de réduire leur combativité et imposer une politique économique favorable aux investisseurs étrangers. Cependant le gel des salaires, la dévaluation à plus de 30%, la suppression des mesures de protection agricole, la suppression du droit de grève, la suppression de l’autonomie des Universités gérée par les enseignants et les étudiants et une répression sans précédent pour empêcher toute solidarité des étudiants avec les ouvriers ont engendré la révolte du peuple argentin.
			 
			
			
		
							
		
						
					
						
				Mots-clés : Élections présidentielles, Mouvements Etudiants, Mouvements sociaux				
		
						
		27 Avril 1969				
					
			
				Le 27 avril 1969, 53,7% de « Non » au référendum, le 28 avril De Gaulle démissionne. La bataille pour les présidentielles met à jour les conflits d’intérêt de la classe dominante mais aussi les divisions de la gauche. L’U.N.E.F. appelle à la lutte de masse prolongée pour renverser les rapports de forces avec la bourgeoisie sur les terrains économiques et politiques.
			 
			
			
		
							
		
						
					
						
				Mots-clés : Mouvements sociaux				
		
						
		Aril 1969				
					
			
				Dés 1958 et surtout après la grève de 1962, les commissions ouvrières s’étendent dans tous les centres industriels du pays et traduisent la riposte organisée des travailleurs aux « plans oligarchiques » du développement monopoliste.  La lutte de masse organisée par les commissions et la capacité qu’ont ces groupes révolutionnaires à impulser, diriger et coordonner la lutte est une analyse urgente à faire pour la construction du socialisme.
			 
			
			
		
							
		
						
					
						
				Mots-clés : Mouvements sociaux, Répression				
		
						
		20 Novembre 1968 • Jacques Sauvageot				
					
			
				Dans les usines, les bureaux, à l’université, la répression s’intensifie de jour en jour sous couvert de réorganisation. Par tous les moyens, le pouvoir essaye de revenir sur les engagements pris en Mai. Le Bureau National incite à la solidarité des étudiants, enseignants et travailleurs.