Mots-clés : Accidents, Déchets, Écologie, Fusion, Nucléaire, Pollutions, Surrégénérateurs, Uranium
1978 • Les amis de la Terre. Présentation par Jean-Claude BARREAU
Cote : AMIS
On a beaucoup parlé de l’énergie nucléaire. Est-il nécessaire ou non d’y recourir? Si oui, quels sont les dangers, les risques que nous font courir les centrales atomiques? «Les Amis de la Terre» pensent qu’on ment aux Français en leur dissimulant les pièces principales du dossier. C’est pourquoi ils veulent, dans ce livre, présenter aux citoyens une information aussi large que possible. Certes, et le titre de leur ouvrage le prouve, leur opinion est faite, mais elle est fondée sur une étude exhaustive du sujet. Tous les Français devraient faire l’effort de lire ce livre parfois austère, mais qui ne leur ment pas. Publié une première fois en 1975, il a été entièrement remis à jour en fonction des développements de l’actualité nucléaire de 1978.
Les amis de la Terre. Présentation par Jean-Claude BARREAU
1978
18 x 19,5 cm, 480 p.
Editions Stock
Mots-clés : Elections législatives, front autogestionnaire, Nucléaire, Socialisme
2 et 9 Février 1978 • Interview de Claude Bourdet par Claude Deslhiat
Claude Bourdet est candidat à Villerbanne pour le Front autogestionnaire aux élections législatives de 1978. Un front pour battre la droite, c’est-à-dire que sa candidature ne se situe pas par rapport à l’Union de la Gauche, mais plutôt, pour proposer une alternative à l’impasse du Programme Commun. Il représente les idées de lutte contre le nucléaire, contre la force de frappe, contre la politique atlantiste, pour la paix et l’écologie. Le front autogestionnaire se définit comme une autre idée de la gauche répondant aux déçus de la rupture avec le PCF et le PS par les états-majors politiques. C’est une formation de gauche, une formation de renouveau. Ce front autogestionnaire présente des candidats dans 250 circonscriptions.
Mots-clés : Élections, Nucléaire, Politique industrielle
5-11 Janvier 1978 • C-M.Vadrot
La guérilla écologique est apparue à l’occasion des élections législatives de 1978. A partir de 1974, la politisation de l’écologie et des questions de la protection de la nature a été implicitement ou explicitement reconnue par tous les partis politiques de droite ou de gauche. Pourtant, les écologistes ont une fonction dérangeante ; ils remettent en cause la société de consommation et l’impérialisme du capitalisme. Par leurs actions de plus en plus soutenues ils agacent les formes traditionnelles de la politique. La question du nucléaire a renforcé leur détermination dans la protection de la nature, dans la remise en cause de la société industrielle. La question politique de l’écologie est une révolte non pas appuyée sur des états-majors mais sur les citoyens agressés pour que naissent les alliances contre toute forme de l’agression productiviste et destructrice. C’est en raison de l’urgence à agir que la guérilla écologique pose la question des actions à mener. En refusant les fichiers, en bloquant les circuits administratifs ou en luttant contre les pollueurs, les écologistes souhaitent casser le système pour montrer à l’opinion publique les dangers qu’on lui fait courir.
Mots-clés : Croissance, Energie, Nucléaire
1977 ?
Cote : PSU-BROCH-ECOLOGIE
Quelle énergie ? Pour quelle croissance ? 1. De faux arguments 2. Une réponse capitaliste à la crise 3. La question de la croissance 4. Quelle alternative ?
21 x 15 cm, 16 p.