Mots-clés : Africains, Capitalisme, Citoyens, Drogues, Environnement, Partis, Projet, Verts				
		
						
		2006 • Luc BOLTANSKI - Dominique BOULLIER et Eric MACÉ - Jacques ION - Anne COPPEL - Francis-André WOLLMAN - Joël MARTINE - Benoît RIHOUX - Evelyne DAMM JIMENEZ - Bruno VILLALBA - Jean NKE NDIH Notes sur Bernard Manin, Jacques Rancière et François Bégaudeau				
					
			
				Cote : Revues – C
Plus de cent ans après le « Que faire ? » de Lénine, en 1902, la mise en question de la forme parti est indispensable. Lorsque les cosmopolitiques se proposent de contribuer à la composition d’un monde commun, elles sont loin de tout modèle guerrier sous-entendu dans le terme même de militants. Pourtant. il faut bien passer à la décision mais aussi à la désignation de responsables, à la sélection des candidats aux élections, candidats bien vivants avec leurs , leurs compétences et leurs passions et pas seulement porte-parole abstraits d’un programme. Le malaise des militants est particulièrement vif en France et dans tous les secteurs de la représentation (politique, associative ou syndicale). Les tentatives pour faire de la politique autrement ne semblent pas avoir porté leurs fruits pour l’instant chez les Verts par exemple…
Sommaire: Les changements actuels du capitalisme et la culture du projet (Luc Boltanski) Au-delà des partis? (Dominique Boullier et Eric Macé) Mobilisations militantes et représentation politique (Jacques Ion) Drogues: la politique introuvable (Anne Coppel) Le scientifique et le politique (Francis-André Wollman) Les mouvements citoyens face aux effets pervers de la démocratie représentative (Joël Martine) Faire le deuil de la politique autrement pour les Verts? (Benoît Rihoux) Journal de campagne Contributions aléatoires de l’écologie politique à la représentation politique (Bruno Villalba) L’environnement, cause commune des Africains contre les intérêts privés des hommes politiques Note de lecture sur B. Manin: Principes du gouvernement représentatif Note de lecture sur J. Rancière: la haine de la démocratie Note de lecture sur F. Bégaudeau: Un démocrate, Mick Jagger, 1960-1969
Luc BOLTANSKI – Dominique BOULLIER et Eric MACÉ – Jacques ION – Anne COPPEL – Francis-André WOLLMAN – Joël MARTINE – Benoît RIHOUX – Evelyne DAMM JIMENEZ – Bruno VILLALBA – Jean NKE NDIH Notes sur Bernard Manin, Jacques Rancière et François Bégaudeau
12
2006
24 X 16 cm, 176 p.
Apogée
			 
			
					
							
		
					
						
				Mots-clés : Engagement, Militantisme, Mouvements, Partis				
		
						
		2005 • FILLIEULE Olivier (Dir.) - Ch. BROQUA, Ph. GOTTRAUX, B. KLANDERMANS, C. LECLERCQ, Doug MACADAM, Fl. PASSY, B. PUDAL, I. SOMMIER, V. TAYLOR				
					
			
				Cote : FILL
L’un des traits permanents des organisations politiques, qu’elles soient partisanes, syndicales ou associatives, est bien le turn over et par conséquent la défection. À ce constat s’en ajoute un autre : la littérature sur le militantisme politique s’est essentiellement posé la question du recrutement et de l’enrôlement de nouveaux militants, mais elle demeure peu prolixe sur le maintien des engagements et, ce qui revient au même, le désengagement. Dans cet ouvrage qui rassemble parmi les meilleurs spécialistes contemporains du militantisme politique, ce sont les processus qui conduisent les individus à se désengager qui sont au centre de l’analyse, contribuant ainsi à poser d’une manière renouvelée la question du militantisme comme activité sociale spécifique, avec ses phases de recrutement et ses moments de déprise. Derrière la grande variété des groupements étudiés, du Parti communiste aux mouvements de lutte contre le sida, en passant par les centrales syndicales et le mouvement féministe américain, c’est bien une série de mécanismes propres à la sortie de rôle qui, dévoilés ici, offrent, sinon un modèle général du désengagement, du moins des pistes pour comprendre les logiques individuelles et collectives de la défection et un moyen nouveau de compréhension du destin des organisations.
Olivier Fillieule est professeur de sociologie politique à l’Institut d’Études Politiques et Internationales de Lausanne et chercheur CNRS au Centre de Recherches Politiques de la Sorbonne.
FILLIEULE Olivier (Dir.) – Ch. BROQUA, Ph. GOTTRAUX, B. KLANDERMANS, C. LECLERCQ, Doug MACADAM, Fl. PASSY, B. PUDAL, I. SOMMIER, V. TAYLOR
2005
24 x 16 cm, 320 p.
Belin
			 
			
					
							
		
					
						
				Mots-clés : Entreprise, Etudiants, Fonction publique, Métiers, Partis, Syndicats				
		
						
		1983 • O. Fouquet, A. Bergougnioux, MG Dezès, G. Adam, JM. Verdier, F. Froment-Meurice, N. Catala, Y. Sabouret, M. Noblecourt, P. Guyonnet				
					
			
				Cote : SYND
Depuis longtemps, les syndicats sont sortis des ateliers, des chantiers et des bureaux. Ils tiennent tribune dans la presse, à la radio et à la télévision, ils hantent les couloirs des ministères, ils y installent leurs représentants, ils négocient, contrôlent, gèrent des activités, parfois ils occupent la rue. Devenus acteurs de la vie politique, ils exercent un pouvoir de nature politique. Ce pouvoir est-il légitime? Compatible avec la démocratie? Comment les syndicats se situent-ils par rapport aux partis politiques? Aux pouvoirs publics? Comment leur pouvoir se manifeste-t-il dans les entreprises? Dans la fonction publique? Quels sont ses moyens propres? L’appartenance syndicale a-t-elle une influence sur le déroulement de la carrière professionnelle? Les relations des syndicats et des pouvoirs publics ont-elles changé depuis mai 1981 ? En quoi consiste le Syndicat du livre? Que peuvent attendre les chefs d’entreprise du pouvoir syndical? Dans la démocratie      Olivier Fouquet Syndicats et partis      Alain Bergounioux Repères historiques    M.-G. Dezès Appartenance syndicale et carrière       G. Adam Dans l’entreprise J.-M. Verdier	 Dans la fonction publique    F. Froment-Meurice	 Les moyens du pouvoir Nicole Catala	 Vu par un entrepreneur Yves Sabouret	 Depuis mai 1981 Michel Noblecourt	 Le syndicat du livre      Paul Guyonnet	 Dossier : le syndicalisme étudiant
O. Fouquet, A. Bergougnioux, MG Dezès, G. Adam, JM. Verdier, F. Froment-Meurice, N. Catala, Y. Sabouret, M. Noblecourt, P. Guyonnet
26
1983
22 x 15,2 cm, 192 p.
PUF
			 
			
					
							
		
					
						
				Mots-clés : Changement, Chômage, Économie, Inégalités, Partis, Social, Syndicats				
		
						
		1982 • Revue CFDT aujourd’hui - Jean BOISSONNAT - Christine BUCI-GLUCKSMAN - Jacques DELORS - Jacques JUILLARD - Jean LE GARREC - Pierre ROSANVALLON - Madeleine REBERIOUX - Bruno TRENTIN - Rainer ZOLL				
					
			
				Cote : CFDT
Colloque organisé par la revue CFDT Aujourd’hui les 14 et 15 octobre 1982. Comment affronter le chômage, réduire les inégalités? Depuis mai 1981. Quels sont les avancées ou les retards dans ce domaine? Comment conduire le changement? La nouvelle situation politique impose de nouveaux rapports entre syndicats et partis. Comment évoluent-ils ? Comment adapter le syndicalisme pour répondre à ces défits? Economistes, chercheurs, intellectuels, syndicalistes, hommes politiques répondent à ces questions actuelles. Cet échange approfondi, organisé sous la responsabilité de la revue CFDT-Aujourd’hui, constitue un élément indispensable du débat encore trop insuffisant dans notre pays sur les grands enjeux de la transformation sociale. INTERVENANTS ; Jean Boissonnat – Robert Bono – Bernard Brunhes – Christine Buci-Glucksman – Jacques Chérèque – Jacques Delors – Pierre Héritier – Jean-Paul Jacquier – Jacques Juillard – Jean Le Garrec – Edmond Maire – Albert Mercier – Jacques Moreau – Nicole Notat – Pierre Rosanvallon – Madeleine Reberioux – Peter Seideneck – François Staedelin – Bruno Trentin – Rainer Zoll
Revue CFDT aujourd’hui – Jean BOISSONNAT – Christine BUCI-GLUCKSMAN – Jacques DELORS – Jacques JUILLARD – Jean LE GARREC – Pierre ROSANVALLON – Madeleine REBERIOUX – Bruno TRENTIN – Rainer ZOLL
1982
21,5 X 13,5 cm, 216 p.
Syros Collection Histoire et Théorie