1 4 5 6 7 8 13

Notre génération communiste 1953-1968

Mots-clés : PCF, Thorez, UEC

1977 • TILLON Charles

Cote : ROBR

Le plus grand parti de France n’est pas, comme chacun sait, le parti communiste, mais celui que forment objectivement, ses anciens membres. Depuis plus d’un demi-siècle que les mésaventures de la dialectique multiplient exclusions et ruptures, des récits et des témoignages sont venus peu à peu éclairer l’expérience idéologique et politique sans doute la plus caractéristique de notre époque. Après s’être astreint à l’objectivité de l’historien dans sa remarquable biographie de Thorez, Philippe Robrieux s’est, à son tour, penché sur sa jeunesse pour tenter de comprendre et d’expliquer, avec une sincérité sans complaisance ni amertume. L’expérience apparemment semblable à tant d’autres est, en fait, exceptionnelle. Né bourgeois, Robrieux est devenu stalinien dans la France convalescente et prosaïque de 1950 sans connaître les tumultes ou les périls qui accompagnèrent ou entraînèrent l’engagement de ses aînés. De la guerre froide à la naissance du gauchisme, cette « autobiographie politique » décrit l’ascension rapide, au sein de la « contre-société » communiste, puis la chute, d’un militant qui se voulait et se croyait un révolutionnaire professionnel. Surtout, avec l’histoire mouvementée de l’U.E.C. (l’Union des Etudiants communistes), c’est celle de toute une génération après tant d’autres contrariée, déçue, sacrifiée, que Robrieux fait revivre. Rescapé de ce « terrible gâchis », il a découvert la saveur des choses simples de la vie mais, fidèle à lui-même, sans renoncer à l’espoir tenace qui porta sa jeunesse : « Le Parti, un jour… Peut-être ? ». .

TILLON Charles
1977
24 x 15,3 cm, 351 p.
Laffont

22° congrès

Mots-clés : 22° congrès, Communisme, Démocratie, Impérialisme, Lutte de classes, Mouvement ouvrier, PCF

1977 • ALTHUSSER Louis

Cote : ALTH

Pour que ma position soit claire, je dirai que je considère le XXII° Congrès comme un événement décisif, comme un « tournant capital dans l’histoire du parti communiste et du mouvement ouvrier français. Les réserves que je pourrai formuler sur tel ou tel point s’inscrivent d’avance dans cette perspective. S’il s’agit bien d’un événement de cette importance, il est clair qu’on ne peut s’en tenir seulement à l’histoire politique française, aux particularités du congrès et de son déroulement, ni à la seule lettre de ses décisions et formulations. Il faut aller au-delà des manifestations immédiates, il faut chercher dans quelles conditions le XXIIe Congrès a eu lieu : de quelle histoire il tente de sortir, et quelle histoire il tente de faire. Il faut donc comprendre quels sont, à l’échelle non seulement nationale mais aussi mondiale, les problèmes économiques et politiques qui ont provoqué le XXII° Congrès. Il faut comprendre à quels problèmes généraux il a voulu répondre, et pourquoi il leur a donné les réponses que l’on connaît. Pour cela, il est indispensable de prendre du recul, et de situer le XXII° Congrès à sa date, 1976 : dans l’histoire de l’impérialisme, « période des révolutions » (Lénine), et dans l’histoire du mouvement communiste international. Et si l’impérialisme est en crise, il faut ajouter : le mouvement communiste international aussi. Louis ALTHUSSER

ALTHUSSER Louis
1977
18 X 11 cm, 76 p.
François Maspero -Théorie

Le socialisme pour la France. 22° congrès du parti communiste français. 4 au 8 février 1976

Mots-clés : Communisme, Démocratie, PCF, Socialisme

1976

Cote : PCF

Le socialisme pour la France, une vie plus sûre, plus juste, plus belle, est-ce un rêve utopique ou une réalité pour demain? Les communistes ont consacré à cette question leur 22e Congrès. Il a passionné l’opinion publique, ce livre en donne la substance. Il aborde les grands problèmes que la vie pose à chacun : le travail, les conditions d’existence, la liberté et la démocratie, l’indépendance nationale. Aujourd’hui, le capitalisme n’assure de fabuleux profits à quelques-uns qu’en rendant la vie invivable à presque tous. C’est un monde à l’envers. Les communistes proposent de remettre la France sur ses pieds. Mais quelle est la voie démocratique au socialisme? Comment le socialisme prendra-t-il chez nous les couleurs de la France? Pourquoi le rôle du parti communiste est-il décisif ? Ce livre l’explique avec simplicité et réalisme. Quand on referme ‘ Le socialisme pour la France’ , ses idées s’ouvrent sur la vie, la France de demain prend le visage de la liberté.

1976
19 X 11,5 cm, 224 p.
Editions sociales

Critique socialiste n° 24. Autogestions. Yougoslavie. Algérie, Pérou. Rossana Rossanda : sur la révolution en Occident

Mots-clés : Algérie, autogestion, Liban, PCF, Pérou, Révolution, URSS, Yougoslavie

1976 - Janvier Février • Rossana Rossanda, Victor Fay, Hector Béjar, San Gile, Jean Jullien, Yvan Crépeau

Cote : CRIT. SOC.

– Problèmes de la révolution en Occident, Rossana Rossanda – Le 22e Congrès du P.C.F, Victor Fay – L’autogestion en Yougoslavie, Table ronde au Centre culturel yougoslave – La révolution péruvienne, Une interview d’Hector Béjar par Maurice Najman – Algérie 75, San Gile – Liban : les raisons d’une guerre civile, Jean Jullien. – U.R.S.S. : Comment amorcer le dégel , Yvan Craipeau

Rossana Rossanda, Victor Fay, Hector Béjar, San Gile, Jean Jullien, Yvan Crépeau
24
1976 – Janvier Février
22,5 x 18 cm, 96 p.
Syros

1 4 5 6 7 8 13