Mots-clés : Altermondialisation, Citoyenneté, Développement, Économie, Emploi, Europe, Gauche, Politique, Service public, Syndicalisme
1997-2003
Cote : REVUES
(Les numéros en rouge et italiques ne sont pas en dépôt à l’ITS) – N° 26 Nouvelle donne politique. Quels enjeux ? – N°27/28 Construire l’europe des services publics – N°29/30 Vers une société européenne – N° 31 Les pays de l’Est face à l’élargissement de l’Union Européenne – N°32/33 La citoyenneté locale à l’heure du développement durable – N° 34 Du côté des retraites – N°35/36 La charte des droits fondamentaux de l’union européenne – N° 37 Forum de la gauche citoyenne – Démocratisation de la vie publique – Enjeux d’une société de plein-emploi – N°38/39 Les citoyens, créateurs de l’Europe – N° 40 Forum de la gauche citoyenne – Quelle constitution européenne ? – Développement durable et citoyenneté – Croissance et écologie – N° 41 Le syndicalisme, l’Europe, la mondialisation – N° 42 Mandarinat d’état et démocratie – N° 43 Forum de la gauche citoyenne – Pour une altermondialisation citoyenne, face à la globalisation capitaliste
26 x 21 cm
Mots-clés : Calédonie, Croissance, Développement, Économie, Education, Etat, Nouvelle, Rapports sociaux, Service public, Socialisme
1989 • ROCARD Michel
Cote : ROCA
Un pays comme le nôtre La « méthode Rocard »? Le dialogue comme outil, l’autonomie comme principe, la durée comme exigence. Ce n’est pas une voie aisée, mais je ne pense pas qu’il y en ait d’autre pour des socialistes qui veulent créer les conditions de la liberté de tous et d’une vraie égalité des chances pour chacun. Ce n’est pas parce que le politique maîtrise enfin sa prétention toujours renaissante à détenir la vérité de l’histoire qu’il lui faut renoncer à sa seule vraie tâche, qui est d’accroître la justice. (Michel Rocard) 1 Valeurs du socialisme 2 La Nouvelle-Calédonie 3 Gouverner 4 Grands chantiers 5 L’organisation de la planète
ROCARD Michel
1989
18 X 11 cm, 288 p.
Seuil
Mots-clés : autogestion, Communes, Décentralisation, Service public
1978 • WARGNY Christophe
Cote : WARG
CHRISTOPHE WARGNY nous a fait vivre une expérience unique avec son premier livre, écrit en 1976. Il y esquissait la richesse d’imagination et de ressource militante d’hommes et de femmes pour lesquels voter ne suffit pas à transformer la vie de la cité… Louviers : sur la route de l’autogestion ?. c’était une défense et illustration de l’autogestion, mais aussi des questions, un rendez-vous avec l’histoire. Et l’histoire s’écrivait sous nos yeux. 1977, les élections municipales confirmaient l’autogestion… espérance diffuse et cependant profonde au point de séduire, en apparence au moins, ses ennemis d’hier. La coqueluche autogestion ? Maladie d’utopie ? Remède immunisant contre les bureaucrates, les notables et les étroits d’esprit ? Est-on frappé par elle comme on l’est par la grâce ? Est-on frappé par elle comme on l’est par la peste ? Ou ni l’un ni l’autre ? Mairies frappées d’autogestion, c’est une enquête autant qu’une quête. Pour elles, CHRISTOPHE WARGNY a pris son bâton de pèlerin, a sillonné la France du Haut-Rhin en Vendée en passant par le Gers, le Nord, le Doubs, la Seine-et-Marne ou la région parisienne. Il vous parle de COUPVRAY, de LA ROCHE-SUR-YON, de L’ISLE-JOURDAIN, de LOUVIERS, de LUTTERBACH, de MARLE, de MONS-EN-BÀRCEUL ou de VANDONCOURT avec ce même amour pour des hommes et des femmes qui y croient et agissent pour rendre le pouvoir aux citoyens. Mais l’humour est présent, comme un signal : attention, travaux ; attention, autogestion. Mairies frappées d’autogestion, c’est, enfin, un souffle d’unité dans l’action, face aux problèmes communs. S’y retrouvent des maires, des adjoints ou bien des conseillers venus d’horizons différents, du C.E.R.E.S., du P.C.F., du P.S. et du P.S.U. L’unité n’est pas l’uniformité. Ici est reconnue la différence.
WARGNY Christophe
1978
19 x 12 cm, 184 p.
Syros
Mots-clés : cinéma, Créteil, Service public
1977 • Olivier BARROT - Jean-Pierre JEANCOLAS - Gérard LEFEVRE
Cote : BARR
Conçues comme instrument d’une politique de décentralisation et mises en place aux débuts du gaullisme, les Maisons de la culture ont suscité quelques espoirs de modifier les rapports entre la culture et les masses. Le mode de fonctionnement de ces lourds organismes, subventionnés nationalement et localement, leur indépendance de principe et l’indépendance de leurs animateurs semblaient des garanties suffisantes. Il en a été tout autrement. Elles ont été mises en cause certes, dans une période de crise économique, pour des motifs financiers, mais également politiques : des accusations fondamentales, relatives à l’échec de leur mission leur ont été adressées, sans d’ailleurs qu’autre chose leur soit opposé. Aujourd’hui, il n’est plus question de développement, mais d’abandon. A Créteil, sept années de « préfiguration » ont précédé l’ouverture, au début de 1975, d’un bâtiment prestigieux, unique dans la région parisienne. Dans ce cadre s’intégrait le travail approfondi de la section cinéma. Convaincus de la prééminence du cinéma comme véhicule d’action culturelle et de dévoilement politique, ses animateurs ont tenté de défricher des voies spécifiques, en contact permanent avec divers publics : avec celui des associations de toutes catégories, avec et pour les enfants; recherche historique, organisation de manifestations diverses. De cette politique de service public audio-visuel, brutalement interrompue au printemps 1976 rendent compte ses promoteurs. Leur livre se veut à la fois réflexion théorique et manuel pratique
Olivier BARROT – Jean-Pierre JEANCOLAS – Gérard LEFEVRE
1977
22 X 14 cm, 168 p.
Maspero