Mots-clés : Christianisme, Etat, Marx, marxisme, Pologne, Socialisme, Staline, URSS
1981 4° trimestre ? • Leduc, Heinrich, Hégin, Darmau, Warnier, Andreff, Bettelheim, Fontaine, Gras, Naville, Brunschwig, Klokocka
Cote : CRIT. SOC.
Présentation, Victor Leduc MARX CONTRE LES MARXISMES – Le spectre de Marx, Alain Bihr et Jean-Marie Heinrich – Bahro : le marxisme sans conformisme, Victor Leduc – Marxismes et luttes de classes, Patrick Hégin et Frédéric Darmau – Roger Garaudy, le marxisme, le christianisme, Philippe Warnier LE COLLOQUE « ACTUALITE DU MARXISME » – L’U.R.S.S. et eux , W. Andreff – La « Crise du marxisme » et l’idéologie stalinienne, C. Bettelheim – Gouverner par la terreur : Staline et les « transitions autoritaires », J.M. Fontaine – Le marxisme et la crise de l’Etat-nation : régionalisme et subnationalisme, C. Gras LES SOCIALISMES « RELLEMENT EXISTANTS » – Grèves et revendications ouvrières en U.R.S.S; Pierre Naville – En Pologne, le roi est nu, Jeanne Brunschwig – Les conceptions du pouvoir et de la démocratie dans le « socialisme réel », Vladimir Klokocka
Leduc, Heinrich, Hégin, Darmau, Warnier, Andreff, Bettelheim, Fontaine, Gras, Naville, Brunschwig, Klokocka
40
1981 4° trimestre ?
22 x 15,5 cm, 128 p.
Syros
Mots-clés : Frossard, Garaudy, PCF, Souvarine, Staline, URSS
1980 • DAIX Pierre
Cote : DAIX
Le plus grand parti de France n’est pas, comme chacun sait, le parti communiste, mais celui que forment ses anciens membres : déçus, exclus, « renégats », « traîtres à la classe ouvrière », « hitléro-trotskistes », hérétiques. C’est l’histoire de cette dissidence que Pierre Daix a entrepris pour la première fois de retracer. Une histoire maudite, falsifiée, étouffée sous les dépôts massifs et répétés de mensonges, de légendes et de mythes tenaces. Car ces proscrits, ces renégats — qui s’appellent, entre autres, Souvarine, Ferrat, Vassart, Nizan, Tillon, Lecœur… —, ces hérétiques ont parlé, écrit. Et leurs propos, leurs textes, si souvent enfouis, censurés, dénaturés, stupéfient quand on les exhume par leur force et leur actualité intactes. Ce n’est pas seulement l’histoire convenue du P.C.F. qu’ils mettent en cause, mais celle du mouvement ouvrier et celle même de la France d’aujourd’hui qui, en raison de sa tradition révolutionnaire, demeure pour l’U.R.S.S. un enjeu idéologique et stratégique de première importance. Pierre Daix, dont le nom a symbolisé pour plusieurs générations l’intellectuel communiste, a connu bien des centres de décision du Parti. C’est donc à la fois en historien et en témoin qu’il relate la tragédie inscrite dans l’acte même de naissance de la Section Française de l’Internationale Communiste, et qu’il mesure avec effarement l’étendue du gâchis intellectuel, moral et humain provoqué par la rupture du Congrès de Tours. Sa conclusion, pourtant, n’est pas désespérée : ces renégats, devenus légions, ces hérétiques ont en commun d’avoir compris. « La lutte finale aura lieu un jour entre les communistes et les ex-communistes », disait Ignazio Silone à Togliatti. Il entendait par là que ce serait l’expérience du communisme qui tuerait le communisme.
DAIX Pierre
1980
24 x 15,5 cm, 350 p.
Laffont
Mots-clés : Staline, Témoignages, URSS
1979 • Présentation : Lilly MARCOU
Cote : MARC
Un « vrai » Staline ? Non. Mais y a-t-il un vrai Staline ? Voici le charmeur, l’homme au couteau entre les dents, le tsar bolchevique, l’héritier de Lénine, le Géorgien de toutes les Russies, tel qu’au fil des ans il a consenti d’être vu. Par de rares journalistes occidentaux, par Churchill ou de Gaulle, par ses généraux. Derrière les murs du Kremlin. L’homme des grands tournants 1. L’éternel contre-mythe 2. Vu par les Alliés 3. Jugé par les généraux 4. Images du désenchantement Un cimetière et un musée
Présentation : Lilly MARCOU
1979
17,8 x 10,8 cm, 254 p.
Gallimard / Julliard Archives
Mots-clés : pouvoir, Staline, Théâtre
1978 • LARDREAU Guy
Cote : LARD
La bouffonnerie s’imposait à moi. dès lors que je voulais parler, disons grossièrement, du «pouvoir», comme la seule langue sans doute qui n’y soit pas tout à fait impropre. Si du pouvoir l’on ne peut rien dire de vrai, le comique seul, me semble-t-il, permet d’y toucher d’une façon qui ne soit quand même pas trop inadéquate, d’en dire quand même quelque chose qui aille à l’essentiel. Mon Staline ne prétend à aucune «vraisemblance historique». Sa vérité, s il y en a une, est ailleurs. Je ne pense pas, donc, que Staline s’intéressât aux petites filles – ni qu’il ait été assassiné. Ou plus exactement, je n’en sais rien, et ça ne m’intéresse pas. Disons, d’un mot. que si ce n’est à aucun titre une pièce historique, j’avais l’ambition d’écrire une pièce d’Histoire. G. L. Guy Lardreau est l’auteur du Singe d’Or (1973) et, avec Christian Jambet, de l’Ange (1976). Il enseigne la philosophie à Auxerre.
LARDREAU Guy
1978
20,5 X13 cm, 190 p.
Grasset