Mots-clés : stratégie politique
8 Novembre 1964 • Bernard Besnier
Bernard Besnier fait le point sur la situation de l’U.N.E.F. , sa carte d’identité et ses militants. L’U.N.E.F. fédère 100 000 adhérents qui ne comprennent pas toujours le souci d’analyse et d’esprit critique de l’organisation. Il réitère l’idée qu’il faut faire œuvre de pédagogie vis-à-vis de la base pour mieux associer les militants.
Mots-clés : stratégie politique
Novembre 1964
Les étudiants de la section ESU Droit- Sciences Eco analyse la situation de l’U.N.E.F. après l’Assemblée Générale et donnent le point de vue des militants E.S.U./ P.S.U sur cette crise entre les minoritaires et les majoritaires. Une analyse pour une stratégie offensive.
Mots-clés : allocation d'études, stratégie politique
Octobre 1964
Un mois avant la sortie du dossier UNEF sur l’allocation d’études ce texte présente déjà une réflexion aboutie sur le sujet. Détail du budget nécessaire à l’étudiant pour vivre indépendant de sa famille et de l’État, et étudier sans recourir au travail au noir – analyse du financement de cette allocation. Elle est proposée sur critères universitaires c’est-à-dire basée sur la réussite aux examens en tenant compte des spécificités de chacune des disciplines. Sont comparées analysées et chiffrées les autres formes possibles d’aide. L’année 1964-1965 sera-t-elle l’année qui verra le succès de cette revendication essentielle ? L’UNEF, pour sa part, est décidée à ne rien négliger pour qu’il en soit ainsi.
Mots-clés : Aménagement du territoire, Enseignement - Réforme, stratégie politique
30 Mai 1964 • Pierre Naville, Pierre Stibbe, Gilles Martinet, Claude Néry, Robert Verdier
La troisième session des « colloques socialistes » s’est réunie les 23 et 24 Mai 1964. À ce colloque présenté par Pierre Naville, sont intervenus Pierre Stibbe et Gilles Martinet sur le rapport d’Alain Savary sur les institutions gaullistes. Robert Verdier a été le rapporteur des questions sur l’enseignement et Claude Néry a abordé la question de la gouvernance des communes pour favoriser la démocratie locale. La confrontation des idées était inévitable mais nécessaire pour déterminer et faciliter la recherche d’une unité d’action pour un programme socialiste contre le gaullisme au-delà des moments d’élections présidentielles et communales.