Mots-clés : Enseignement, stratégie politique
23 Février 1963 • Interview du Président de l'A.G. de Toulouse
Le Président de l’A.G. de Toulouse fait un point sur l’état du mouvement syndical après les accords de paix en Algérie. Il constate une diminution des adhérents et une dépolitisation générale. Par ailleurs, Toulouse est confronté à la présence de la F.N.E.F. Un travail d’information, de formation et d’adaptation des structures syndicales est nécessaire.
Mots-clés : Congrès, stratégie politique
21-24 Février 1963 Chatillon sous Bagneux
Des tensions se font jour au sein de l’U.E.C (Union des Étudiants Communistes). La direction apparaît comme dissidente par rapport à la ligne stalinienne car elle décide de soutenir la proposition du P.S.U. de candidature unique pour la gauche au premier tour des élections et de présenter un programme différent de celui du P.C. L’intervention de Waldeck-Rousseau a calmé les esprits mais les questions de fond posées par l’U.E.C. et ses rapports avec le parti ne sont pas réglés pour autant. Trois ans plus tard ces tensions aboutissent à l’exclusion de nombreux militants de l’U.E.C. Marc Heurgon, Jacques Kergoat, Jacques Hubert font le point pour Tribune Socialiste.
Mots-clés : Algérie, stratégie politique
26 Janvier 1963 • Frédéric Desnault
Au sein du gouvernement algérien, des ministres refusent de discuter avec les représentants de l’U.G.T.A contrairement à l’accord récent entre le syndicat et le Bureau Politique. Cet article pose la question des rapports entre syndicat, parti et gouvernement puisque le Bureau Politique a pris en main la centrale syndicale algérienne. Un syndicaliste interrogé estime que chacun a un rôle différent et que le syndicat ne doit pas se couper de la masse des travailleurs.
Mots-clés : stratégie politique
26 Janvier 1963
M.Herzog au cours des débats budgétaires s’est dit prêt à rétablir la subvention de l’U.N.E.F. si celle-ci accepte la présence de la F.N.E.F. au Haut Comité de la Jeunesse. Ce chantage n’est pas accepté par l’U.N.E.F. qui considère que dans la situation politique actuelle il n’y a pas d’alternative possible.