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Mon engagement

Mots-clés : CFDT, CFTC, Démocratie, Jean Kaspar, Syndicalisme

1994 • KASPAR Jean

Cote : KASP

Aux jeunes et à ceux de ma génération Devenir autonome L’apprentissage des réalités: la mine L’éveil à la dimension spirituelle La mue de la CFTC Le choix de la démocratie Oxygéner la démocratie Permanent syndical L’expérience de la négociation Acteur régional Reconstruire le syndicalisme Le prix d’un échec Le chômage: changer de logique Franchir le Rubicon Les raisons d’une démission Continuer autrement

KASPAR Jean
1994
22 X 13,5 cm, 216 p.
Flammarion

Préparation du 1er Congrès de la Nouvelle Gauche

Mots-clés : Écologie, Nouvelle Gauche, Syndicalisme

25 Mai 1987 • Bureau Politique PSU

Dans la perspective de la préparation des congrès et de l’unification en fin d’année de la Nouvelle Gauche et du PSU, le débat est lancé. Le Bureau Politique du PSU fait un état des lieux. En 1986 le PSU a lancé un appel pour la constitution d’un mouvement socialiste, autogestionnaire et écologiste. Fin 1988, le congrès d’Angers, prenant acte des convergences manifestes entre les orientations du PSU et celles définies majoritairement par les assises pour une Nouvelle Gauche, décidait de s’engager dans un processus de fusion entre ces deux courants. Le succès électoral des Verts aux municipales implique l’ouverture d’un nouveau débat politique sur les conditions de cette fusion. Les choix d’avenir des Verts restent incertains pour une partie des camarades et, en partie, déconnectés du débat stratégique sur la viabilité ou non d’un projet autogestionnaire et écologique. Pour le PSU, le rapprochement avec les Verts semble difficile car leur démarche politique est radicalement différente dans la mesure où chez les Verts l’espace social n’est pas pris en compte. Le PSU propose de se concentrer sur la construction effective d’une alliance Nouvelle Gauche et PSU et de la faire vivre sur le long terme.

Les cow-boys ne meurent jamais

Mots-clés : CFDT, Classe ouvrière, Syndicalisme, Travail

1986 • JACQUIER Jean-Paul

Cote : JACQ

« Rien ne va plus dans le syndicat, je m’achète un vélo », écrivait récemment un militant. Pleure, ô mon syndicat bien aimé, car les adhérents se font aussi rares que les journées de grèves. Les commentaires sur le syndicalisme sont acides et les fossoyeurs astiquent leur pelle. Le pire pourtant n’est pas certain. L’avenir social est plus ouvert qu’on ne le croit et tous les syndicalistes n’ont pas le « blues » au cœur. Le syndicalisme a ses chances car les dinosaures s’essoufflent. Vieux patrons et vieux syndicats sont le recto et le verso d’une même page d’histoire qui s’achève. Une autre commence. L’individu, l’entreprise, l’aspiration des femmes à travailler, le refus de l’embrigadement, l’alternance politique, la décentralisation de la novation… sont quelques-unes des chances du syndicalisme. L’aventure continue. Avec de nouvelles pratiques, plus concrètes, moins idéologiques. Un « new-deal » social se prépare. Loin du concert des pleureuses et de la revanche des craintifs sentencieux, Jean-Paul Jacquier bouscule avec humour et passion bien des tabous. Il affirme haut et fort qu’il croit en l’avenir du syndicalisme. Un syndicalisme d’acteurs, indispensable pour la société à laquelle il rend des services et pour la démocratie dont il est une pièce maîtresse. A condition d’y participer. Jean-Paul Jacquier, 45 ans, est secrétaire national de la CFDT, responsable du secteur « travail-entreprise ».

JACQUIER Jean-Paul
1986
21,5 x 13,5 cm, 178 p.
Syros

La vie quotidienne des anarchistes en France. 1880-1910

Mots-clés : Anarchie, Anarcho, Bonnot, Classe ouvrière, Commune, Dreyfus, Ravachol, Syndicalisme, Terrorisme

1986 • TARIZZO Domenico

Cote : NATA

L’anarchisme, né sur le terreau du mouvement ouvrier, porte la trace de ses origines : la révolte contre une « condition ouvrière » qui apparaît comme condition de misère et d’injustice. Aussi le libertaire est-il un réfractaire, un individu qui revendique la passion parce qu’il la croit créatrice. A travers les grandes figures et les temps forts du mouvement libertaire, André Nataf souligne que l’anarchie est multiple. Entre les courants il v a bien des discordances et les théories de Proudhon, Blanqui et Cuesde, ou de la Fédération jurassienne avec les frères Reclus, contredisent les jusqu’au-boutistes que seront Arsène Lupin, Ravachol ou Bonnot. Tous cependant font la guerre au pouvoir, à l’Etat, et se réclament de « ni Dieu ni maître ». Au terme de ce bilan érudit, nous découvrons combien ces groupuscules supposés marginaux ont été décisifs dans le développement des idées qui nous préoccupent aujourd’hui : contraception, amour et union libre, organisations communautaires, invention d’une presse nouvelle, illégalisme, nouvelle pédagogie, mouvement coopératif.

TARIZZO Domenico
1986
20 x 13 cm, 352 p.
Hachette

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