Mots-clés : Anarcho, Catalogne, communistes, Espagne, Milices, Nationalisations, Révolution, Syndicalisme
1977 • BOLLOTEN Burnett
Cote : BOLL
I. La révolution espagnole : Les prémices du drame ; La révolution ; La révolution frappe la petite bourgeoisie ; La révolution à la campagne. II. La montée communiste: Un espoir pour les classes moyennes ; Le Front populaire ; Le camouflage de la révolution ; Les communistes luttent pour l’hégémonie ; Les communistes dirigent le cabinet ; Londres et Paris font l’objet d’une cour pressante. III. La révolution est freinée dans son élan : Anarchisme et gouvernement ; Les anarcho-syndicalistes entrent au gouvernement ; Contre les comités révolutionnaires ; La police ; Nationalisation contre socialisation ; Une République démocratique d’un ordre nouveau ; Les communistes équilibrent les forces sociales. IV. Des milices révolutionnaires à une armée régulière : Les milices révolutionnaires ; Les milices anarcho-syndicalistes et la discipline ; Le Cinquième régiment ; Le noyautage de l’armée ; Le mouvement libertaire et l’armée ; La Colonne de fer; Largo Caballero rompt avec Moscou ; Largo Caballero contre-attaque. V. Le triomphe communiste : Le parti communiste resserre ses liens avec les socialistes modérés; Catalogne. Révolution et contre-révolution ; Barcelone. Les événements de mai ; La chute de Largo Caballero ; Epilogue. La fin de la révolution.
BOLLOTEN Burnett
1977
24 x 15,8 cm, 564 p.
Ruedo ibérico
Mots-clés : AIT, Anarcho, autogestion, Classe ouvrière, Fédéralisme, Monnaie, Révolution, Syndicalisme
1976
Cote : ANAR
L’organisation des anarcho-syndicalistes demeure un problème important a l’heure actuelle. Aujourd’hui les conditions ne permettent pas de créer une confédération anarcho-syndicaliste. Les camarades qui tentent de créer de toutes pièces une confédération anarcho-syndicaliste sur le modèle de la CNT Espagnole prennent le problème par le mauvais bout… Une partie importante du prolétariat est organisée aujourd’hui dans les syndicats réformistes. Ces syndicats continuent d’avoir la confiance d’une masse importante de travailleurs, et l’influence du mouvement syndical dépasse largement le cadre strict de ses adhérents. En outre, la situation n’est pas encore telle qu’il soit impossible d’impulser une dynamique révolutionnaire dans les syndicats. … Actuellement nous pensons qu’il faut être là où les travailleurs sont organisés. Mais il est illusoire de croire que nous pouvons chacun dans notre coin, qui dans son syndicat, qui dans union locale, travailler à la démocratisation et parsemer nos confédérations et quelques structures « parfaites». C’est compter sans l’essoufflement pour manque de contrôle, l’épuisement par manque de progression théorique, la dislocation ou la récupération par les manoeuvres des bureaucraties. Il est donc important pour nous, anarcho-syndicalistes, de se doter d’une organisation. Cet outil permettra à une partie des travailleurs qui formule les revendications fondamentales du mouvement ouvrier de se donner les moyens du développement d’une prise de conscience plus large des travailleurs.
N° 58
1976
22 x 17 cm, 64 p.
Alliance syndicaliste. Suppl. à Solidarité ouvrière
Mots-clés : autogestion, CFDT, JOC, Mai 1968, PSU, Syndicalisme
1976 • KRUMNOW Fredo
Cote : KRUM
C.F.D.T. au cœur n’est pas le livre d’un théoricien du syndicalisme ni du socialisme autogestionnaire. En 1943, Frédo Krumnow entre dans le monde du travail. Il a 16 ans. De 1946 à 1951, il est permanent de la J.O.C. Puis, pendant quinze ans, il travaille dans une usine du textile à Pfastatt, en Alsace. Militant P.S.U. et syndicaliste actif, il devient, en 1966, permanent syndical. Sa réflexion se nourrit des leçons, riches et nombreuses, tirées de l’action « sur le terrain ». Son soutien quotidien aux travailleurs lui fait sillonner la France entière. Une volonté l’anime : l’émancipation des travailleurs. Elle passe par l’expression collective de ceux-ci, car, pour être réelle, elle doit être leur œuvre. Aussi, ce dirigeant confédéral n’avait-il rien du lointain bureaucrate. Il savait écouter, comprendre, aider. Partisan du socialisme autogestionnaire, et l’un de ses pionniers et défenseurs les plus farouches, il nous introduit au cœur d’une C.F.D.T. qui change et s’enrichit. C’est donc également à un voyage, au sein de cette centrale qui « épousa le mois de mai » et dont Krumnow ne voulait pas qu’elle déçoive ses nombreux adhérents et sympathisants, que nous invite C.F.D.T au cœur. KRUMNOW FRÉDO Né le 29 mai 1927 à Mulhouse (Haut-Rhin), mort le 19 mai 1974 à Bourg d’Oisans (Isère) ; employé ; militant de la Jeunesse ouvrière chrétienne, des Associations populaires familiales, de la CFTC puis de la CFDT, de la Jeune République, de l’Union de la Gauche Socialiste, du Parti socialiste unifié ; permanent régional de la JOC (1946-1948), permanent national de la JOC (1948-1951), vice-président de l’UD CFDT du Haut-Rhin à partir de 1964, président départemental des Associations populaires familiales du Haut-Rhin, secrétaire général de la Fédération CFTC puis CFDT du Textile à partir de 1960, puis de la fédération CFDT Hacuitex , secrétaire national de la CFDT (1970-1973).
KRUMNOW Fredo
1976
22,5 X 13,5 cm, 194 p.
Syros
Mots-clés : Classe ouvrière, Grève, Socialisme, Syndicalisme
1976 • Jean JAURÈS. Textes rassemblés par Madeleine Rebérioux
Cote : JAUR
« Philosophe, historien, député, Jaurès est aussi un chef de grève et un leader ouvrier » * Socialisme, répression et meneurs ouvriers * Le prolétaire, l’homme et la connaissance * Les syndicats et le gouvernement direct * Définition et usage de la lutte de classe * Violence patronale, violence ouvrière * La grève générale contre la guerre * Pour la loi sur les retraites ouvrières et paysannes
Jean JAURÈS. Textes rassemblés par Madeleine Rebérioux
1976
18 x 11 cm, 244 p.
Maspero