Mots-clés : Comités d’entreprise, Délégués, Entreprises, Licenciements, Syndicats
1978 novembre • ARSEGUEL Albert
Cote : ARSE
C’est le plus souvent à l’occasion de conflits spectaculaires entre patrons et représentants syndicaux que l’on traite du « social ». Des exemples de ces tensions — qu’il convient de ne pas exagérer mais plutôt de comprendre par le phénomène moderne de mass-média — se rencontrent dans les rapports collectifs du travail qui disposent même d’un terrain de prédilection, le fonctionnement des institutions représentatives du personnel dans l’entreprise. Le présent volume se veut un inventaire des dispositions aussi bien légales (au sens large) que jurisprudentielles et conventionnelles qui tracent un cadre, définissent des missions et confèrent un statut à ces institutions. Il semble, en effet, que d’une part une meilleure connaissance de la réglementation et de ses implications, d’autre part, sa simplification, essentiellement par une refonte du système de représentation en place, permettraient de faire l’économie de bien des conflits. La connaissance du droit positif étant toutefois insuffisante pour appréhender la réalité de la représentation du personnel dans l’entreprise, des précisions y sont données sur la pratique des relations instaurées ainsi que sur les « mentalités » des partenaires sociaux. Si le contenu de l’ouvrage est principalement juridique, il s’inscrit toutefois dans une perspective plus large.
ARSEGUEL Albert
4 488 – 4 489
1978 novembre
24 x 16 cm, 180 p.
Documentation française
Mots-clés : Chine, Syndicats
1977
Cote : CHIN
Parmi l’ensemble des livres publiés récemment sur la Chine, La Chine telle que l’ont vue dix syndicalistes occupe une place à part. Ce n’est pas ici une étude de spécialistes, mais un compte rendu que dix travailleurs de l’E.D.F. présentent sur le voyage de trois semaines qu’ils ont effectué en Chine en avril 1977. — Un témoignage de première main sur la Chine nouvelle édifiée sous la direction du Président Mao Tsé-toung. Un témoignage sur la Chine telle qu’elle apparaît après la mort du grand dirigeant chinois, un panorama des différents domaines de la vie du pays, des communes populaires aux usines, des écoles aux hôpitaux, avec un exposé de la politique intérieure et extérieure de la Chine. Un livre clair, simple et objectif qu’auront à cœur de lire tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, s’intéressent à ce grand pays lointain dont le poids dans l’arène internationale ne cesse de croître.
1977
21,5 x 13,5 cm, 140 p.
Editions du Centenaire
Mots-clés : Anarchisme, Conseils ouvriers, Etat, marxisme, Révolution, Russie, Syndicats
1976 • KROPOTKINE Pierre. Textes réunis et présentés par Martin Zemliak
Cote : KROP
L’œuvre immense de l’un des plus grands théoriciens de l’anarchisme, prince et géographe dont la valeur scientifique a été universellement reconnue, et qui, après une existence de prison, de déportation et d’exil, revint terminer sa vie au pays de la révolution soviétique, sans rien renier de ses convictions. « Ne croyez pas ceux qui vous disent : pas encore, c’est trop tôt! Non, il n’est pas trop tôt : maintenant, une fois pour toutes ! Textes réunis et présentés par Martin Zemliak.
KROPOTKINE Pierre. Textes réunis et présentés par Martin Zemliak
1976
18 x 11 cm, 445 p.
FM / petite collection maspero
Mots-clés : Entreprise, Réformisme, Syndicats, Travail
1976 • FRUIT Elie
Cote : FRUI
L’histoire vivante de la création et du développement des premiers syndicats de cheminots jusqu’à la grève « de la thune » de 1910. « Durant les vingt années qui vont de 1890 à 1910, Elie Fruit décrit sans élever le ton mais avec grande force ce que les frères Bonnef ont appelé « la vie tragique des travailleurs ». Pour ceux du rail, c’est le temps du patronat de droit divin, des journées de travail de douze à quinze heures, des salaires dérisoires au bas de l’échelle, de la réforme et non de la retraite, comme pour les vieux chevaux dans les régiments de cavalerie… « Sur un autre plan, plus général, se trouvent soulignés nombre de problèmes d’un permanent intérêt : celui du caractère réformiste ou révolutionnaire des luttes, dans la mesure où il est justifié de simplifier ainsi le débat, celui aussi de l’opposition entre l’action syndicaliste, économique et l’action parlementaire, politique, et là encore on peut se demander s’il n’y aurait pas lieu de parler de complémentarité plutôt que d’opposition, celui enfin — et je suis loin d’épuiser la variété des questions soulevées — de stratégie syndicale qui doit tenir compte et des majorités souvent passives et des affrontements entre les deux minorités patronale et syndicale, dominante et opposante… » Jean MAITRON (extrait de la préface de l’ouvrage)
FRUIT Elie
1976
21 x 13,5 cm, 216 p.
Éditions ouvrières