Mots-clés : CFDT, Militant, Syndicalisme, Travail
1973 • MOTHÉ Daniel
Cote : MOTH
Daniel Mothé Né en 1924. Ouvrier dès l’âge de 15 ans, a passé sa vie dans la « militance », dans le mouvement trotskyste d’abord, puis comme collaborateur de la revue Socialisme ou Barbarie. Ouvrier fraiseur chez Renault, militant CFDT, collaborateur de la revue Esprit, cet observateur de la condition ouvrière est à la fois un acteur et un témoin. 1. Une sociologie de militant 2. Le militant de base 3. Le militant et le problème du pouvoir 4. La relation militant – travailleur 5. Les trois types de militants
MOTHÉ Daniel
1973
18 X 11, 5 cm, 192 p.
Seuil
Mots-clés : Accumulation, Capitalisme, Chômage, Crises, Etat, Impérialisme, Surproduction, Travail, Valeur
1973 • Pierre SALAMA, Jacques VALIER
Cote : SALA
Ce livre montre pour mieux le combattre ce qu’est le système capitaliste, comment il fonctionne, quelles sont les contradictions qui se développent en son sein – La valeur des marchandises – .L’extorsion de plus value – La tendance a accumuler – Le chômage – La loi de baisse tendancielle du taux de profit – Les crises de surproduction – Le travail improductif – L’impérialisme – Les interventions de l’état
Pierre SALAMA, Jacques VALIER
1973
18 X 11 cm, 208 p.
Maspero
Mots-clés : O.S., Ouvriers, Revendications, Syndicats, Travail
1972 • Daniel MOTHÉ
Cote : MOTH
– Les ouvriers spécialisés, qui sont-ils ? – Les conditions de travail – La lutte syndicale et politique des O.S. ? – Les revendications fondamentales – De la revendication à l’utopie
Daniel MOTHÉ
1972
18 X12 cm, 96 p.
CERF
Mots-clés : Immigrés, Logement, Racisme, Régularisation, Syndicats, Travail
1972 • Juliette MINCES
Cote : MINC
Pour les uns, ils viennent « manger le pain des Français », « accroître la menace de chômage », « profiter des bienfaits de notre civilisation », « pomper des devises à la métropole », « se faire un pécule pour jouer les nababs à leur retour au pays », « abuser de tous les avantages sociaux, aux frais du contribuable français », « agresser nos filles et nos compagnes », « créer le racisme dans un pays où il n’existait pas… ». Pour d’autres, étant les plus démunis, les plus vulnérables, les plus marginaux, ceux qui viennent « remuer la merde que les Français ne veulent plus toucher », ils constituent nécessairement le fer de lance de la révolution prolétarienne à venir. Pour d’autres encore, ils représentent une masse de manœuvre indispensable pour réussir sans trop de heurts l’industrialisation de l’économie française et pour diminuer la pression sociale en jouant sur les divisions entre ouvriers autochtones et immigrés. Pour d’autres enfin, ils ne sont ni plus ni moins qu’une matière, première comme les autres, exploitée par l’ancienne métropole coloniale dans le cadre du pillage généralisé du monde sous-développé, par les nations nanties. Au cours d’une enquête de trois ans, Juliette Minces est allée interroger des centaines de représentants de toutes les communautés de travailleurs étrangers installés en France. : voici leurs témoignages, leurs doléances, tout ce qu’ils ont à dire eux-mêmes, et ce qu’il faut savoir des conditions réelles qui sont faites, d’un bout à l’autre de leur séjour, à ces nouveaux « soutiers de l’Europe ».
Juliette MINCES
1972
20,5 X 14 cm, 480 p.
Seuil Combats