LIP. Charles Piaget et les LIP racontent.

Mots-clés : Lip, Piaget

1973 • PIAGET Charles. Postface de Michel Rocard

Cote : PIAG

Ce livre est le résultat d’un travail collectif réalisé à l’initiative du PSU, sous la direction de Charles Piaget. Charles Piaget et ses camarades racontent la plus extraordinaire lutte sociale de ces dernières années. Nous découvrons qui sont ces hommes et ces femmes qui inquiètent depuis six mois le patronat français, quels sont les pièges qu’ils ont su éviter à force d’imagination, d’audace et de cohésion. Michel Rocard tire les premières leçons politiques d’une affaire dont on n’a pas fini de parler. Un livre où les travailleurs gardent la parole. Charles Piaget : 45 ans. Entre chez Lip en 1946. Y devient chef d’atelier mécanique. Militant de l’action catholique ouvrière et du PSU. Délégué syndical CFDT. Table des matières : Chronologie La parole est à Une marche d’escalier L’engrenage Ensemble tout est possible Il faisait beau le jour de la séquestration Les LIP et les flics La masse silencieuse Les LIP et l’argent ON n’est plus chez nous Plus jamais des “anonymes” Les LIP popularisent Entre le marteau et l’enclume Les LIP au féminin Comme une danse grave J’ai pas lu dix livres Les LIP à l’usine Un autre côté de la route Les LIP et leur comité d’action Défendre l’intérêt de tous les travailleurs Les LIP et l’illégalité Ce que les LIP ont appris

PIAGET Charles. Postface de Michel Rocard
1973
20,5 X 12,5 cm, 222 p.
Editions Stock

Les Cents Fleurs. Chine 1956-1957

Mots-clés : Chine, Mao Ze Dong, Mao ZE Dong, Révolution culturelle

1973 • ARAY Siwitt

Cote : ARAY

Au début de 1956, le parti communiste chinois appela les « Cent Fleurs » à s’épanouir et les « Cent Ecoles » à rivaliser. Pendant plus d’un an la vie politique va se dérouler sous le signe de cette métaphore – le Parti semblait tolérer la diversité des styles dans les arts, les lettres, la culture. Que recouvrait ce mouvement qui devait être, pour la Chine, l’équivalent de la Renaissance italienne ? Comment a-t-il fonctionné et pourquoi a-t-il pris fin ; de quelle façon le régime a-t-il ensuite mis en place la répression et comment une fraction du parti communiste a-t-elle résisté à l’épuration qui a précédé la politique du « Grand Bond »? A partir de sources chinoises inédites et d’une excellente connaissance des problèmes chinois appréciés sur le terrain, l’auteur répond à ces questions et offre, grâce au révélateur de l’époque des Cent Fleurs, une analyse de la situation réelle de la société chinoise qui rompt délibérément avec le discours idéologique sur la Chine. CHRONOLOGIE Les Partis et les Institutions en Chine Introduction L’ORDRE IMPOSSIBLE Economie et Pouvoir politique La résistance ouvrière La résistance paysanne LE P.C. CHINOIS ET LA «DÉSTALINISATION » L’expérience politique des démocraties populaires La campagne de rectification; Mao en Pologne L’ORDRE CONTESTÉ Les démocrates Le mouvement étudiant L’ORDRE VICTORIEUX La répression La tactique maoïste Caomupian Documents Autres témoignages Querelles d’interprétation Le mythe de Mao ; les Cent Fleurs et les pays de l’Est

ARAY Siwitt
1973
18 x 10,8 cm, 186 p.
Flammarion

L’héritage de Lénine

Mots-clés : Gauchisme, Léninisme, Maoïsme, marxisme, Révisionnisme

1973 • FEJTÖ François

Cote : FEJT

Quelle est la part de Marx, quelle est celle de Lénine dans ce qu’on appelle communément marxisme-léninisme ? Celui-ci est-il un phénomène spécifiquement russe ou a-t-il une validité universelle ? Staline a-t-il trahi Lénine ou, au contraire, a-t-il parachevé son œuvre ? Voici quelques questions auxquelles François Fejtô s’efforce de répondre. Il analyse ensuite la grande crise d’identité du communisme, ouverte par la déstalinisation, jusqu’à ses derniers avatars : le révisionnisme de Dubcek, le maoïsme et la révolution culturelle, le brejnevisme et les diverses formes du gauchisme. En replaçant les expériences communistes du passé et du présent dans la perspective marxienne — que Lénine et Staline ont infléchie vers le « volontarisme » et le culte de la violence — il conclut que le socialisme — c’est-à-dire le maximum de liberté conciliable avec le maximum de responsabilité — ne se pose comme tâche réelle qu’aux sociétés libres, pluralistes, ayant atteint un haut degré de développement industriel, technique et culturel. Le reste relève, dit-il, de ce que Marx lui-même a appelé « socialisme primitif ».

FEJTÖ François
1973
23,3 x 15,3 cm, 398 p.
Casterman

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