Introduction à la sociologie générale – I. L’Action sociale.

Mots-clés : Action sociale, Civilisation, Culture, Sociologie

1968 • ROCHER Guy

Cote : ROCH

Trois problèmes dominent la recherche théorique et empirique en sociologie générale : ceux de l’action, de l’organisation et du changement social. Le problème de l’action sociale, développé dans ce premier tome, peut s’énoncer ainsi : comment expliquer que les collectivités humaines existent et se maintiennent – et comment l’individu se rattache-t-il à ces collectivités ? Sont donc étudiés ici les fondements normatifs, idéaux et symboliques de l’action sociale ; les notions de culture, de civilisation et d’idéologie ; enfin les processus, les mécanismes et les agents de la socialisation.

ROCHER Guy
1968
18 X 11,5 cm, 192 p.
Editions HMH – Points

Le gauchisme. Remède à la maladie sénile du communisme.

Mots-clés : Bureaucratie stalinienne, Comités de base, Etudiants, Gauchisme, Mai 68, Mouvement révolutionnaire, Nanterre

1968 • COHN-BENDIT. (Postface : Daniel et Gabriel Cohn-Bendit)

Cote : COHN

« L’importance des événements de mai-juin est telle, la mise en avant du nom de Cohn-Bendit est si bien orchestrée, que nous n’avons plus besoin.d’aller supplier un éditeur, c’est lui qui vient nous chercher pour écrire un livre qui, de toute façon, bon ou mauvais, intéressant ou pas, devrait devenir – en bon objet de consommation – le gadget révolutionnaire de la rentrée… Pourquoi avons-nous alors accepté de faire ce livre ? Pour retourner l’arme contre cette société, en y disant ce qu’on a pu dire longtemps avant et pendant les événements, ce qui nous paraît important dans ce mouvement révolutionnaire et pour en dégager l’essentiel : les perspectives d’avenir, car il n’est pas question pour nous d’en rester là. Ce n’est qu’un début, continuons le combat! » C-B.

COHN-BENDIT. (Postface : Daniel et Gabriel Cohn-Bendit)
1968
20,5 X 13,5 cm, 272 p.
Editions du Seuil Collection “Combats”

La conquête des pouvoirs

Mots-clés : autogestion, Communisme, gaullisme, Mai 68, PSU, Socialisme

1968 • MARTINET Gilles

Cote : MART

Barricades de mai, printemps de Prague : l’année 1968 restera celle des ardentes mises en question—de la société de consommation ici, du socialisme autoritaire là-bas. Dans cette double explosion, faut-il voir le prodrome d’une révolution intégrant socialisme et démocratie ? Se gardant avec soin des mystifications et des illusions commodes, l’auteur ne cache pas qu’un tel type de régime n’a jamais existé, hormis dans les courtes phases de transition où les masses et leurs leaders communient dans l’enthousiasme des grands ébranlements sociaux. Mais il recherche avec soin, de l’échec des journées de mai aux déboires de l’autogestion yougoslave, les contradictions qui entravent et les expériences qui peuvent servir à fonder une théorie et une pratique socialistes. Observateur attentif des sociétés de l’Europe de l’est, responsable politique mêlé à tous les débats de la vie publique occidentale, Gilles Martinet fonde son étude sur une comparaison permanente entre les expériences et les crises de l’Est et de l’Ouest. Car les clés de la démocratie socialiste sont à chercher à Paris comme à Prague. Gilles Martinet Né en 1916 à Paris, il fut tour à tour rédacteur en chef de l’agence France-Presse et directeur de « France-Observateur « . // est actuellement (1968)membre du comité de direction du  » Nouvel Observateur « . Animateur, de 1934 à 1937, du groupe parisien des étudiants communistes, il quitta le PCF à la fin de Vannée 1938 pour protester contre les procès de Moscou. Il a pris part à la fondation du parti socialiste unitaire, de la nouvelle gauche, de l’union de la gauche socialiste — qui, de regroupements en fusions, aboutissent en 1960 à la création du parti socialiiste unifié (PSU) dont il assuma, avec Edouard Depreux, la direction de 1960 à 1967. Il a créé, à l’automne 1967, l’association  » Pouvoir socialiste « .

MARTINET Gilles
1968
20,5 X 14 cm, 192 p.
Seuil

Le Communisme et la Russie

Mots-clés : marxisme, Staline

1968 • STALINE. Introduction : Jean-François KAHN

Cote : STAL

Staline a écrit son premier texte de théorie en 1901 à l’âge de 22 ans. C’était le début d’une œuvre considérable traduite et diffusée dans toutes les langues avant d’être mise à l’index à la suite des révélations du XXe congrès. Mais quelle est l’importance idéologique et politique de cette œuvre aujourd’hui introuvable ? C’est ce que montre le choix de textes que nous publions ici sous le titre : « Le communisme et la Russie ». Il recoupe toutes les périodes de la vie de l’ancien maître du Kremlin. Il permet de comprendre l’implacable logique du stalinisme. Premier texte Comment la social-démocratie comprend-elle la question nationale ? Ouvriers du Caucase, il est temps de se venger ! Contre la socialisation de la terre Anarchisme ou socialisme ? Un militant modèle Le marxisme et la question nationale Les conditions de la victoire de la révolution russe Contre les manifestations « spontanées » …. Un marxisme créateur Contre les « intellectuels de gauche » Pourquoi nous donnons la Finlande à la bour¬geoisie Lettre du front Lettre du front Télégramme de Moscou N’oubliez pas l’Orient ! Faut-il une armée régulière ? Ce que doit être le parti Contre les fractions dans le parti Les principes du léninisme Le modèle d’Octobre Questions du léninisme Conseils au parti communiste français Les tendances de droite dans le parti Le stakhanovisme Le matérialisme dialectique et le matérialisme historique L’Etat et le socialisme Marxisme et linguistique Economie socialiste et crise du capitalisme. Le problème de la guerre

STALINE. Introduction : Jean-François KAHN
1968
18 x 11,2 cm, 222 p.
Denoël

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