Créateurs d’utopies. Démocratie, Autogestion, Économie sociale et solidaire

Mots-clés : autogestion, Démocratie, Économie sociale

2012 avril • THOMÉ Pierre - VIVERET Patrick (Préf.). CLERC Denis (Postf.)

Cote : THOM

Ouvrage de réflexion collective coordonné et écrit par Pierre Thomé Préface : Patrick Viveret, philosophe Postface : Denis Clerc, fondateur d’Alternatives économiques Principaux contributeurs : Serge Depaquit, Élie Gaborit, Pierre Mahey, Michel Marzin, Hélène Rescan, et de nombreux témoins. Témoins de l’histoire et de l’actualité : Lucien Alluy, Sonia Annic, Béatrice et Gérard Barras, André Barthélemy, Jean Berthinier, Harold Bertrand, Josselin Boireau, Marie-France Bommert, Hamou Bouakkaz, Sylvain Bouchard, Huguette Bouchardeau, Pierre et Simone Bourges, Pierre Bourguignon, Marie-Hélène Bunoz, Raymond Burgy, Robert Chapuis, Robert Chartier, Michel Chaudy, Denis Clerc, Gabriel Cohn-Bendit, Daniel Delaveau, Fatima Demougeot, Vladimir-Claude Fišera, Florence Fréry, Élie Gaborit, Alain Genthon, Bernard Gerland, Damien Girardier, Georges Gontcharoff, Roger Gosselin, Jean-Yves Griot, Jean-François Guillemaud, Jean Haffner, Bernard Huissoud, Cyril Huneau, Odile Jacquin, Michel Jeanningros, Cyril Kretzschmar, Marie-Paule Lambert, Agnès Lambert-Samson, François Lamy, Dominique Lebailly, Marylise Lebranchu, Monique Le Minter, Edwige Lepelletier, Charlotte Leydier, Maurice Libessart, Julia Lopez, Pierre Mahey, Jean-René Marsac, Michel Marzin, Gilbert Meynier, Alexis Morvan, Claude Neuschwander, Janine Palm, Nathalie Perrin-Gilbert, Henri Pérouze, Manuella Philippot, Charles Piaget, Jean-Pierre Radix, Michel Rocard, Jacques Salvator, Yann Sourbier, Charles Toullier, Gine Vagnozzi, Pierre Vanlerenberghe, Pierre Vial, Roland Vittot, Irène Voiry

THOMÉ Pierre – VIVERET Patrick (Préf.). CLERC Denis (Postf.)
2012 avril
22 x 14 cm, 305 p.
Yves Michel

La richesse des autres. Maison des Passages.

Mots-clés : France, Identité

2012 ? • BEAUVOIR Marcel - CHERKI Alice - RIGHI Farid- BER Claude - LEVEQUE Louis - HAGE Julien - KALOUAZ Ahmed - TERRAY Emmanuel

Cote : RICH

Actes du colloque du 6 octobre au 8 novembre 2011 organisé par la Maison des Passages (Lyon) La construction de nos identités Alice CHERKI Farid RIGHI Claude BER Comment la France se construit ? Comment elle se raconte? : le récit national français Louis LEVEQUE Julien HAGE Ahmed KALOUAZ Emmanuel TERRA Y

BEAUVOIR Marcel – CHERKI Alice – RIGHI Farid- BER Claude – LEVEQUE Louis – HAGE Julien – KALOUAZ Ahmed – TERRAY Emmanuel
2012 ?
21 x 14,7 cm, 72 p.

Essai sur la qualification du travail

Mots-clés : classes sociales, Qualification, Travail

2012 juin - (1956 1° édit.) • NAVILLE Pierre - SÉHILI Djaouida et ROZENBLATT Patrick (Préf.)

Cote : NAVI

En 1956, Pierre Naville écrit Essai sur la qualification du travail, ouvrage fondamental pour qui veut comprendre ce qui se joue, d’une part dans les processus de mise en valeur ou de dévalorisation du travail et, d’autre part dans la constitution des hiérarchies professionnelles et salariales. Cinquante-six ans se sont écoulés sans que, sur le fond des enjeux de société autant que sur la méthode, l’«Essai» n’ait pris une seule ride. Bien au contraire, alors même que le langage de la logique de compétence est devenu dominant et que le travail industriel et machinique côtoie désormais des formes d’organisation du travail alors inexistantes, les analyses de Pierre Naville permettent toujours de penser et de comprendre les modalités de négociation de la qualification et de la valeur du travail. À dessein, il déconstruit les énoncés d’évidence qui, sous couvert des catégories et des mesures statistiques envisagées comme objectives, autorisent finalement à ne pas remettre en cause les inégalités hiérarchiques. Il nous interpelle sur le sens des arguments retenus pour qualifier ou disqualifier le travail et insiste sur l’importance que revêtent la formation et le prestige social dans la constitution des échelles de valeur. D’une écriture claire et directe, sans langage expert codé, l’« Essai » offre ainsi la possibilité de comprendre le niveau de reconnaissance attribué à son activité professionnelle. Au-delà du plaisir de sa lecture, ce livre est un outil de prise de conscience pour qui se propose de réfléchir et d’agir sur la justice des hiérarchies sociales. Enfin, il représente pour plusieurs disciplines universitaires, notamment la sociologie du travail, et leurs enseignements, un support pédagogique exemplaire et essentiel, véritable petit manuel d’apprentissage pour les étudiants. Pierre Naville (1904-1993). Du surréalisme à la sociologie du travail, Pierre Naville a eu un engagement constant à vouloir penser, réfléchir et agir pour la transformation révolutionnaire des rapports sociaux liant les hommes entre eux. En France, comme fondateur de la sociologie du travail, il est au travers de ses publications celui qui, par sa pensée critique et dialectique, permet d’échapper aux illusions de la révolution technologique, notamment celles de l’automation, comme œuvrant mécaniquement à l’émancipation des travailleurs, alors même qu’elles peuvent contribuer à renforcer les formes de l’« esclavage moderne ».

NAVILLE Pierre – SÉHILI Djaouida et ROZENBLATT Patrick (Préf.)
2012 juin – (1956 1° édit.)
21 x 13 cm, 180 p.
Syllepse

La souffrance au travail. Osons le dire !

Mots-clés : Entreprise, Santé, Syndicalisme, Travail

2011 • LANGLET Denis - LE GARREC Jean (préf.)

Cote : LANG

Fatigue, stress, surmenage, manque de considération et de reconnaissance, promesses d’augmentation et d’évolution non tenues, ces trente dernières années les conditions de travail de millions d’hommes et de femmes ont été bouleversées. L’individualisation a remplacé le travail collectif. La mise en compétition des salariés a chassé la solidarité déjà fragile. La réussite individuelle a été récompensée. La surcharge de travail est appelée « défi », « challenge ». Dans cette ambiance, faire preuve d’indépendance d’esprit est suspect. Les nouvelles méthodes de gestion engendrent une dureté et une déshumanisation des relations de travail. Il a fallu un siècle de luttes syndicales et de combats politiques pour encadrer les conditions de travail et protéger les salariés. Mais rien n’est jamais conquis durablement, tout est rapport de force syndical et politique. Aujourd’hui, la domination totale de la finance rend l’action difficile. La rapacité est devenue priorité. Guizot disait « enrichissez-vous ». Il faudrait dire « goinfrez-vous ». La course au profit aboutit à une logique de création de capital par destruction d’emplois. Le marché détruit l’emploi. OSONS LE DIRE!
Denis LANGLET, syndicaliste, élu du personnel pendant près de 30 ans dans un grand groupe industriel international, est aussi membre du Réseau de recherche sur l’innovation. Auteur de L’Industrie dans la tourmente de la finance (2008) et de L’économie en ruine ou la fin d’une histoire (2010).

LANGLET Denis – LE GARREC Jean (préf.)
2011
176 x 12 cm, 80 p.
Bruno Leprince

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