Cote : DIRECTIVES
(4 semaines avant la fin de la campagne) Demande de carnets, invendus, règlement, tirage..
N°106
3 Mai 1966
27 x 21 cm, 2 p.
(4 semaines avant la fin de la campagne) Demande de carnets, invendus, règlement, tirage..
N°106
3 Mai 1966
27 x 21 cm, 2 p.
– Association France Palestine Solidarité. Cahiers de formation n° 1(Les 20 dates-clefs du conflit israélo-palestinien), 18 (Le PSU et le conflit israélo-palestinien), 24 (le système politique bipolaire palestinien) – Les dossiers de l’AFPS : Liberté (solidarité) pour les prisonniers politiques palestiniens (Isabelle Avran, Claude Léostic, Mireille Mendès-France, Bernard Ravenel – Marwan Barghouti, Gisèle Halimi, Saïd Nimer, Daniel Voiguet, Hussam Khader). – Association France Palestine Solidarité : Actes du colloque du 25 juin 2010 au Palais du Luxembourg (Jean-Claude Lefort, Monique Cerisier Ben Guuga,Jack Ralite, Abiouy Alaa Mansour, Roy Wagner, Bernard Ravenel, Yaël Lerer, Mahmoud Zawahra, Daniel Garrigue, Jean-Louis Bianco, Jérôme Gleizes, Jacques Fath, Daniel Noiusette, Taoufiq Tahani, Erik Laloy – Matériaux pour le débat. Globalisation & Méditerranée, le défi israelo-palestinien. Bernard Ravenel, Nov 2003,50 pages
Dominique VIDAL – Bernard Ravenel –
2006 – 2010 – 2004
La nostalgie est la maladie des époques finissantes : elle conduit à des postures plus routinières que révolutionnaires, à des conservatismes dissimulés derrière l’expression de la radicalité ou de la colère indignée. On ne devient pas réformiste parce qu’on pense que le monde va bien et qu’il suffirait de le gérer correctement pour qu’il aille encore mieux. On devient réformiste parce qu’on pense qu’il faut le transformer réellement. On ne devient pas réformiste parce qu’au fond rien ne presse et qu’on a le temps. On devient réformiste parce que, las d’attendre les grands soirs qui ne viennent pas et servent d’alibi à la passivité boudeuse, on veut se mettre en mouvement tout de suite. Redonner forme à la société, ce n’est pas seulement faire des réformes, négocier des compromis profitables ou en refuser d’autres, c’est faire en sorte que tout cela serve une certaine idée de l’égalité, de la justice et de la solidarité. Je suis persuadé que l’émancipation n’est pas un vain mot et qu’elle a encore un long avenir devant elle.
François Chérèque a été Secrétaire général de la CFDT
CHÉRÈQUE François
2005
22 x 14,5 cm, 188 p.
Seuil
Propices aux polémiques et à la caricature, les années 1950 sont au nombre des périodes encore mal connues de l’histoire de la CGT. Le Centre d’histoire sociale du XXe siècle et l’Institut CGT d’histoire sociale ont uni leurs compétences afin de mieux comprendre ce que fut la Confédération en ces temps difficiles. Tel était l’objet du colloque tenu en novembre 2005 dont rend compte le présent ouvrage. Durant la guerre froide, le poids du parti communiste a très fortement pesé sur la vie de la Confédération. Aussi importait-il de s’interroger sur les conséquences, directes ou non, de cette relation sur l’attitude cégétiste, qu’il s’agisse de son opposition aux gouvernements ou au patronat, de la lutte pour la paix et contre les guerres coloniales. Les auteurs s’intéressent au fonctionnement de la CGT, son « gouvernement », ses cadres et ses militants. Ils mettent en lumière les pratiques consécutives à l’engagement de la CGT dans la gestion des comités d’entreprise et de la Sécurité sociale. L’ouvrage traite encore des débats qui l’ont traversée : paupérisation, planification, stratégie syndicale internationale, relations avec les autres confédérations françaises, etc. Au fil d’études spécifiques menées à différentes échelles – locales, départementales, professionnelles -, les travaux soulignent la grande diversité des comportements cégétistes. Ils font enfin une large place aux militants et, plus précisément, aux militantes dont le rôle grandit durant la décennie. Loin de toute vision unilatérale ou réductrice, le présent ouvrage restitue pour la première fois l’histoire de la principale organisation syndicale française saisie au début des Trente Glorieuses.
Élyane BRESSOL est secrétaire général de l’Institut CGT d’histoire sociale. Michel DREYFUS est historien, directeur de recherches au CNRS. Joël HEDDE est président de l’Institut CGT d’histoire sociale. Michel PIGENET est professeur à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne.
É. BRESSOL, M. DREYFUS, J. HEDDE, M. PIGENET dir. –
2005
24 x 15,5 cm, 488 p.
Presses Universitaires de Rennes