Mots-clés : colonialisme, Écologie, Guerre, Nazisme, Nucléaire, PSU, Religion, Résistance, UGS
1998 • RAVENEL, BARTH, PARMENTIER, TREFEU, BLANQUART, AUBRAC, KRIEGEL-VALRIMONT, LACOUTURE, SHAHID, KAHN, KESLER, BEAUNEZ, DEBRAY
Cote : BOUR
Souvenirs et réflexions des Amis de Claude Bourdet à l’occasion de l’hommage qui lui a été rendu le 28 octobre 1996 à Paris Introduction Bernard Ravenel Sa foi dans un monde « autre » Interventions dans la chapelle Saint-Symphorien de l’église Saint-Germain des Prés Si le grain ne meurt… Maurice Barth Une sentinelle. Roger Parmentier Ses combats politiques Interventions dans la salle Mabillon, rue de l’Abbaye Ouverture Roger Tréfeu Paul Blanquart I. La résistance au nazisme «Je t’accompagne». Lucie Aubrac Une figure centrale. Maurice Kriegel-Valrimont II. La lutte contre le colonialisme En avant garde. Jean Lacouture Nous étions seuls. Leïla Shahid Une dette immense. Marcel-Francis Kahn III. Pour une nouvelle gauche Une fidélité libre. Jean-François Kesler Un pur. Roger Beaunez IV. Contre le nucléaire L’écolo pacifiste. Bernard Ravenel V. Une figure singulière. Régis Debray Un homme libre Intervention au cimetière Montparnasse, lors de l’inhumation le 25 mars 1996 Cheval sauvage. Paul Blanquart
RAVENEL, BARTH, PARMENTIER, TREFEU, BLANQUART, AUBRAC, KRIEGEL-VALRIMONT, LACOUTURE, SHAHID, KAHN, KESLER, BEAUNEZ, DEBRAY
1998
21 x 15 cm, 48 p.
Ass. Amis de Claude Bourdet
Mots-clés : Atelier, Entreprise, Firme, Taylorisme
1997 • THUDEROZ Christian
Cote : THUD
Qu’est-ce qu’une entreprise ? Pourquoi une sociologie des entreprises ? Depuis quand et sous quelles formes les entreprises sont-elles apparues ? Que nous apprend l’évolution de ces formes ? Quels sont les différents aspects de la diversité des entreprises ? Comment appréhender sociologiquement l’entreprise ? N’est-elle qu’un centre de production ou une simple organisation ? Dans quelle mesure l’entreprise est-elle autonome, capable de définir et orienter elle-même ses stratégies ? Quel est le poids de son environnement ? Pourquoi la notion d’institution est-elle importante pour comprendre l’entreprise ? Que peut-on dire des responsabilités sociales de l’entreprise ? Faut-il opposer communauté(s) d’entreprise et société ? Comment aider l’entreprise à se produire elle-même, à devenir plus coopérative, à être moins anonyme vis-à-vis de ses salariés ? Christian Thuderoz, sociologue, est chargé de recherches au CNRS. Il est membre du CRISTO, unité du CNRS associée à l’université Pierre-Mendès-France de Grenoble.
THUDEROZ Christian
1997
18 x 11 cm, 123 p.
La Découverte
Mots-clés : Chômage, Insertion, Précarité
1997 • ASTIER Isabelle
Cote : ASTI
A travers le Revenu minimum d’insertion, des personnes vivant toutes sortes de situations de précarité sont amenées à passer de véritables » épreuves pratiques « . Des commissions locales composées de professionnels du social, de l’ANPE, d’élus locaux et de représentants des forces économiques évaluent les possibilités d’agir sur ces situations concrètes, autour de cette question inquiète : » Mais de quoi les gens sont capables ? » En traitant les débats et les disputes, les dilemmes et les désaccords qui animent ces commissions, Isabelle Astier présente une pragmatique du jugement sur l’aptitude des personnes à anticiper et à s’auto-conduire, à maîtriser une part de leur destin et à exercer une action sur leur devenir. C’est bien l’individu en situation négative, avec ses capacités et ses fragilités, qui est l’objet central des débats. » Donne-moi ton récit et je te donnerai de l’aide « , ce dispositif se révèle être une machine à produire de la biographie publique, avec tous les risques et toutes les ambiguïtés d’un tel exercice. – La confection du Récit public – Les figures publiques de l’individualité – Chômer: entre engagement et défection
ASTIER Isabelle
1997
22,5 X 15,5 cm, 287 p.
Desclée de Brouwer
Mots-clés : Manifestation, Ordre public, participation, Police, Protestation
1997 • FILLIEULE Olivier
Cote : FILL
Qui manifeste en France, pourquoi et sous quelles bannières ? Quelle est la place du recours à la rue parmi les formes classiques de la participation politique ? Quel sens donner à la violence qui, parfois, accompagne la protestation ? Par quels moyens le pouvoir politique et les forces de police essaient-ils de concilier le droit de manifester avec le maintien de l’ordre public ? Autant de questions auxquelles ce livre cherche à répondre. Ce livre propose une interprétation dynamique des conflits de rue qui replace les événements dans leur environnement politique et recherche l’explication de leur succès ou de leur échec dans le jeu à trois qui, sur le terrain, fait se rencontrer les autorités politiques, les forces de l’ordre et les manifestants. L’approche choisie ici permet de rompre avec les études classiques sur les mobilisations en montrant comment l’ordre public et l’action collective sont les deux faces d’un même phénomène par lesquelles s’expriment les demandes et les incertitudes d’une société. L’ouvrage repose sur des documents inédits : les archives de la préfecture de police de Paris, du service central des CRS et de deux commissariats centraux de province. La richesse de ces sources révèle un véritable continent immergé des pratiques de participation directe (sans doute plus de dix mille manifestations par an) et invite à ne plus seulement retenir du phénomène ses traductions les plus visibles, celles qui induisent ou accompagnent des crises politiques. L’occupation de la rue s’inscrit dans les pratiques les plus quotidiennes des Français. Leur étude, à laquelle se livre l’auteur, fait surgir toute une souffrance sociale, à travers les litanies de la plainte, de la haine et du désir. OLIVIER FILLIEULE, docteur en science politique, a été Jean Monnet Fellow à l’Université européenne de Florence et enseigne à l’Institut d’études politiques de Paris. Il a publié notamment Sociologie de la protestation. Les formes de l’action collective dans la France contemporaine (L’Harmattan, 1993) et, avec Cécile Péchu, Lutter ensemble. Les théories de l’action collective (L’Harmattan, 1993).
FILLIEULE Olivier
1997
22 x 13,5 cm, 435 p.
Presses de Sciences Po