Mots-clés : Entreprise, Idéologie, Militant, Syndicat
1971 • VIDAL Daniel
Cote : VIDA
L’idéologie pose aux sciences humaines une double question : le statut particulier de la sociologie lui permet-elle de constituer en objet cela même qui, pour certains, constitue encore aujourd’hui le langage privilégié de cette discipline ? D’autre part, même si l’on peut apporter une réponse positive à cette première interrogation, l’idéologie sera-t-elle traitée à partir des contenus explicites ou implicites qu’elle véhicule, ou comme forme articulée, discours ne trouvant sens que par le mode particulier de composition interne qui le caractérise ? Cette seconde question en entraîne une autre. Par la constitution de l’idéologie en instance du discours — de la culture ? — dans une formation sociale, peut-on définir le mode d’articulation spécifique de cette instance à ce que l’analyse saisit comme situation sociale ou comme pratique de groupes sociaux déterminés, et, par là, la fonction propre, d’occultation et de production, de cette instance ? A cet égard, les phénomènes de crise des rapports sociaux peuvent-ils dévoiler les mécanismes par quoi l’idéologie travaille dans une formation sociale ? C’est cet ensemble de questions que l’essai présenté ici se pose. Les idéologies syndicales sont utilisées ici comme indicateurs de la constitution et du travail de l’idéologie. Ce matériel provient d’une recherche sur l’action syndicale effectuée, en 1965-1968, dans le cadre du Centre National de la Recherche scientifique (Laboratoire de Sociologie industrielle) sous la direction de M. Alain Touraine.
VIDAL Daniel
1971
19 x 13 cm, 325 p.
Anthropos
Mots-clés : Engels, Marx, marxisme, Philosophie
1971 • MARX Karl, ENGELS Friedrich
Cote : MARX
Après l’éclatement de la Révolution bourgeoise en France (Révolution de Février) et des États de la ligue allemande (Révolution de Mars), Marx quitte la Belgique (sous le coup d’une expulsion) pour Paris puis l’Allemagne en avril 1848, où il fonde la Neue Rheinische Zeitung, destinée à représenter le point de vue du prolétariat dans les mouvements populaires de 1848. Tout au long de la vie du journal, les éditeurs ont été menacés de poursuites judiciaires et d’expulsion en raison de leur nationalité non prussienne. Marx comparait deux fois devant la justice, le 7 février 1849, à cause d’un délit de presse, et le 8 pour incitation à la résistance armée contre le gouvernement. Il fut acquitté à chaque fois. Marx et Engels utilisent ce journal pour publier leur analyse sur le vif des évènements de juin 1848 en France (Révolution de Juin), ainsi de les épisodes révolutionnaires en Europe, notamment en Allemagne. Des textes majeurs paraissent dans la Neue Rheinische Zeitung, comme Travail salarié et Capital en avril 1849. 301 numéros seront publiés entre juin 1848 et 19 mai 1849, date à laquelle le journal est fermé par les autorités, alors que Cologne est de nouveau en état de siège. Il y a alors 6000 abonnés. Les derniers mots du journal (imprimés à l’encre rouge) sont destinés aux travailleurs de Cologne : « émancipation de la classe ouvrière ! » (Wikipedia)
MARX Karl, ENGELS Friedrich
1971
22,5 x 14,3 cm, 575 p.
Éditions sociales
Mots-clés : colonialisme, Impérialisme, Sociologie
1971 • ABDEL-MALEK dir.
Cote : ABDE
VIIème Congrès Mondial de Sociologie, Varna, 1970
ABDEL-MALEK dir.
1971
22 x 13,7 cm, 782 p.
Anthropos
Mots-clés : presse, Syndicat
1971 • CHAUVET Paul. Préface : F. Besnier
Cote : CHAU
CHAUVET Paul. Préface : F. Besnier
1971
21 x 13,5 cm, 350 p.
Éditions ouvrières